80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
??Pour lutter contre la torture, la dénonciation des violences infligées ne suffit pas. Il faut aider les survivants à retrouver une vie normale. Cela suppose, comme le montre Françoise Sironi, de pénétrer dans le monde mental des tortionnaires. Comment influence-t-on quelqu'un au point de le pousser à avouer, à révéler des informations, à trahir ? La violence physique n'explique pas tout. Quels sont donc les mécanismes psychologiques mis en oeuvre par les tortionnaires ? Surtout, comment fabrique-t-on des bourreaux, comment place-t-on certaines personnes en position d'exercer de telles pressions ?
Françoise Sironi est maître de conférences en psychologie clinique et en psychopathologie à l'université Paris-VIII. Elle a cofondé le Centre Primo-Levi, spécialisé dans le soin des victimes de torture et de violences collectives. Elle est directrice du Centre d'ethnopsychiatrie Georges- Devereux, à l'université Paris-VIII.
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