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Natif de Dax, il a vécu sans racines, au gré des affectations d'un père militaire. A Pau, dernière ville de garnison paternelle en 1976, Philippe Guilbaud s'initie au pyrénéisme et au rocher école d'Arudy, où il s'installe «un peu par hasard, après un ersatz d'étude de marché. Aujourd'hui, je suis d'où je vis.» Arudy, c'est sa porte vers les randonnées : le massif d'Er et le plateau d'Anouilhas encore sauvages, les «classiques lacs d'Ayous», malgré leur constante fréquentation.
L'appareil photo toujours dans le sac, Philippe Guilbaud vit sans se lasser en montagne un «sentiment de premier matin du monde, de pureté». Il s'imprègne de lumières, mesure l'importance de la présence humaine : «C'est ce qui rend la montagne vivante». Il l'arpente dans les années 1990,aux premiers balbutiements des mises aux normes de cabanes :
«J'ai voulu fixer cette histoire-là par les images». Le projet dérive bientôt sur les portraits des bergers, ce côté humain si cher à Philippe Guilbaud.
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