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Battling Le Tenebreux Ou La Mue Perilleuse

Couverture du livre « Battling Le Tenebreux Ou La Mue Perilleuse » de Vialatte Alexan aux éditions Gallimard
  • Nombre de pages : (-)
  • Collection : (-)
  • Genre : (-)
  • Thème : Non attribué
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Battling le ténébreux raconte les joies, les amusements et les désespoirs d'un trio de lycéens qui rêvent et désirent, dans une petite ville de province, autour de la figure d'une jeune Allemande, sculpteur de profession, qui vient de s'installer non loin du collège.

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Avis (5)

  • Une belle lecture même si j'ai eu un peu de mal à y rentrer dans les premières pages, puis ce premier cap des 30 premières pages passé, on se prend facilement à ce récit d'enfance aux couleurs d'Oc. J'y ai retrouvé un peu du "Grand Meaulnes" et on peut dire qu'au niveau de la qualité de...
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    Une belle lecture même si j'ai eu un peu de mal à y rentrer dans les premières pages, puis ce premier cap des 30 premières pages passé, on se prend facilement à ce récit d'enfance aux couleurs d'Oc. J'y ai retrouvé un peu du "Grand Meaulnes" et on peut dire qu'au niveau de la qualité de l'écriture, c'est aussi bien fourni.

    Récit de la vie de 3 collégiens de 17 ans,  3 ados en recherche d'identité  et de repéres aux frontières de l'état d'adulte .... un peu coincés dans une vie de collège de province avec sa petite cour de professeurs, proviseur. Un petite vile avec ses commérages, les critiques des unes et des autres et de collégiens qui n'aspirent qu'à s'émanciper...

    Le narrateur s'attache d'abord à reconstituer l'enfance de ses deux amis, plus ou moins heureuse, les histoires et origines familiales de chacun et plus particulièrement du plus écorché.... Battling.

    Tout cela et particulièrement les vies quotidiennes de Fernand Lache surnommé Battling et de Manuel Feracci dont le narrateur, Vialatte ?, est un proche va se retrouver bouleversé par l'arrivée d'une artiste - peintre  d'orgine allemande.... la bien mystérieuse Erna qui, comme on peut l'imaginer ne va pas passer inaperçue et susciter les ragots les plus variés mais surtout ne pas laisser froids ces deux collégiens amis et les traiter avec des sentiments différents....

    Blessures d'enfance, premiers émois amoureux et destin parfois tragique, Vialatte nous dresse une chronique talentueuse et attachante. Proche de ses personnages, de leurs personnalités, de cette Province empesée, on en apprécie le style un peu désuet....un film un peu en noir et blanc mais un récit de grandes qualité.

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  • Un premier roman paru en 1928, lu dans le cadre de la sélection des 68premières fois.
    Un auteur dont je n'avais jamais rien lu.
    J'ai trouvé le texte un peu désuet mais avec une belle écriture, pour nous raconter la dernière année au collège de jeunes garçons qui vont devenir des hommes ou du...
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    Un premier roman paru en 1928, lu dans le cadre de la sélection des 68premières fois.
    Un auteur dont je n'avais jamais rien lu.
    J'ai trouvé le texte un peu désuet mais avec une belle écriture, pour nous raconter la dernière année au collège de jeunes garçons qui vont devenir des hommes ou du moins essayer.
    Trois personnages : le narrateur qui décrit cette ville de province, Manuel, l'un des plus grands, dont l'oncle fait des monuments funéraires et le jeune Manuel se verrait bien lui devenir un artiste, et Battling (le ténébreux celui du titre), ténébreux donc, hésitant, solitaire. Il y a aussi deux personnages féminins, l'énigmatique Erna, allemande, peintre, mystérieuse et pas complètement intégrée dans cette petite ville de province et Céline, une chanteuse de cabaret. Une chronique de la vie en province, de la vie dans un collège et de la sortie de l'adolescence de jeunes garçons. Une lecture plaisante car une belle plume.

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  • Un auteur très peu connu, une découverte pour moi, son premier roman édité en 1928.
    De la mélancolie dans ce livre qui relate la vie d’adolescents, le lycée, les amitiés, les amours, l’ennui, la jalousie, dont Fernand Larache dit Batling est au cœur de l’histoire.
    C’est l’adieu à...
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    Un auteur très peu connu, une découverte pour moi, son premier roman édité en 1928.
    De la mélancolie dans ce livre qui relate la vie d’adolescents, le lycée, les amitiés, les amours, l’ennui, la jalousie, dont Fernand Larache dit Batling est au cœur de l’histoire.
    C’est l’adieu à l’adolescence avec toutes les souffrances et espérances.
    Une écriture fluide, de longues phrases, une ponctuation particulière, de la poésie, un livre plaisant mais qui m’a paru désuet.

    Lu dans le cadre des « 68 premières fois ».

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  • Les années 20, des amitiés et des amours adolescentes au cœur d’un lycée classique, dans une petite ville de province dont les spécialités semblent être les ragots et la mesquinerie... De nos jours, le cadre aurait changé, dans les rues de la ville ou dans les salles de lycée où se déroule...
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    Les années 20, des amitiés et des amours adolescentes au cœur d’un lycée classique, dans une petite ville de province dont les spécialités semblent être les ragots et la mesquinerie... De nos jours, le cadre aurait changé, dans les rues de la ville ou dans les salles de lycée où se déroule l’action (ah ! les cartes de l’Afrique coloniale pendues au mur de la classe...), mais les personnages pourraient se trouver au centre d’un roman contemporain.
    C’est particulièrement le cas pour Manuel et Battling, les adolescents décrits dans le livre, insolents, écorchés vifs, crâneurs et émotifs, navigant entre cynisme et haine de soi, jaloux en amitié comme en amour jusqu’à la tragédie.
    Vialatte écrit avec une langue et un style qui coulent simplement, de belles images fortes et des notations justes et poétiques. Pour cela, j’ai pensé à Salinger et son Attrape-Cœur, à Alain Fournier et son Grand Meaulnes.

    Lu dans le cadre des 68 premières fois, ce livre voyage (déconfiné) auprès des lecteurs/lectrices engagé.e.s dans l'aventure

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  • Je suis passée à côté de ce livre et sans les 68, je ne l’aurais probablement jamais lu. Et ça aurait été fort dommage.

    Battling le ténébreux est le premier roman d’Alexandre Vialatte. Il n’en a d’ailleurs écrit que trois. Ce roman a été publié et se déroule en 1928. L’auteur avait 27...
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    Je suis passée à côté de ce livre et sans les 68, je ne l’aurais probablement jamais lu. Et ça aurait été fort dommage.

    Battling le ténébreux est le premier roman d’Alexandre Vialatte. Il n’en a d’ailleurs écrit que trois. Ce roman a été publié et se déroule en 1928. L’auteur avait 27 ans.

    Ce livre décrit l’adolescence de trois lycéens dans une sous préfecture de province. Le narrateur dont on ne saura que peu de choses nous décrit ses 2 amis Fernand Larache dit Battling à cause de sa stature et Manuel Ferraci. On découvrira également l’univers du lycée, son principal, les enseignants, le répétiteur, les salles de classe, les cartes murales, la statue de Victor Hugo…

    Dans ce livre on ressent la nostalgie de l’adolescence face au monde des adultes. On découvre leurs amitiés, leurs espoirs, leurs premiers émois, leurs amours, leurs déceptions amoureuses.

    Battling tombe amoureux d’Ema Schnorr une artiste peintre allemande puis de Céline une chanteuse qui monnaye ses charmes. A chaque fois, il se retrouvera en rivalité avec Manuel.

    J’ai beaucoup aimé le style et les descriptions d’Alexandre Vialatte. Son style est à la fois simple et inventif et il faut parfois recourir au dictionnaire.

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