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Aujourd'hui, tout fait corps. Marque de notre identité, on ne veut plus le subir mais le choisir, le construire, parfois le nier.
Mais qu'en était-il autrefois ? Cette histoire du corps et de ses représentations à l'époque moderne propose une approche originale culturelle, sociale et politique. La distinction entre corps anatomique, corps vécu, corps perçu et corps social permet de nous situer dans le temps et dans l'espace.
La « culture des apparences », du vêtement à la cosmétique en passant par la bienséance, la danse ou encore le combat permettant à chacun de se situer dans l'espace et d'affirmer son identité, installe en particulier un autre regard sur les usages de la cour et sur la figure et le corps sacré du roi.
Dans cet univers de l'intime, le bien-être, l'hygiène et les âges de la vie trahissent les liens que les individus tissent avec la vie, la maladie et la mort. Ce lien pose dès la Renaissance la question des possibles et des limites.
Au moment où le corps s'individualise, la maîtrise de soi et le contrôle des gestes et des désirs dessinent les contours d'une civilisation des moeurs si caractéristique de la modernité française de la Renaissance au siècle des Lumières.
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