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L'ouvrage s'attache à la vie et à l'oeuvre du peintre Alfred de Curzon. Né à Moulinet, près de Poitiers en 1820, lauréat du prix de Rome (1849) pour le paysage historique, il effectue deux séjours en Italie avec une double excursion en Grèce et à Constantinople où il fait la connaissance de Théophile Gautier. Dans son style classique, académique, il va peindre toute sa vie des scènes et des paysages italianisants et grecs. Parti du paysage, il se hisse au tableau de genre historique. Ses toiles aussi bien à Paris qu'en province récoltent honneurs, médailles, le tout couronné par la Légion d'honneur à l'issue du Salon de 1865. Chaque Salon ainsi que les grandes expositions régionales sont accompagnés des critiques de l'époque replacées dans le contexte artistique et dans l'oeuvre de l'artiste poitevin. Les plus grands critiques d'art du XIXe siècle ont rendu compte des envois de Curzon au Salon : Baudelaire, Gautier, Delécluze, Mantz, Champfleury, Astruc, Zola, etc., avec des jugements souvent opposés. Reconnu par ses pairs et le public, Curzon quand il décède emporte dans la tombe une façon de voir le monde, une manière de peindre et les grandes heures du Salon classique des Champs-Élysées.
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