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Qui de mieux que Nathalie A. Cabrol pour faire le point dans un essai vivant et didactique sur l'une des questions les plus profondes de l'humanité : sommes-nous seuls dans l'Univers ? La directrice scientifique du centre SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence, « Recherche d'intelligence extraterrestre ») aborde tour à tour l'exploration de notre système solaire, la recherche des exoplanètes, celle des signaux extraterrestres et les types de civilisations ou vies qu'on espère y trouver. L'astrobiologiste nous invite à participer à cette odyssée extraordinaire que nous vivons actuellement, et dont les images du télescope James-Webb ne sont qu'un infime reflet. Avec 300 millions d'exoplanètes dans la zone habitable de notre galaxie, penser que nous sommes seuls est une « absurdité statistique ». Dès lors nous sommes pris d'un vertige devant l'ampleur de certaines révélations. De Titan à la planète 55-Cancer-e, de l'équation de Drake au paradoxe de Fermi, des typologies de niveaux de civilisations extraterrestres à la théorie de Gaïa, c'est tout un monde inconnu qui s'ouvre à nous.
Un livre stimulant et accessible dans la lignée de Poussières d'étoiles de Hubert Reeves. Une invitation au voyage d'un nouveau genre, à la recherche d'une vie ailleurs dans l'Univers dont « l'absence de preuves n'est pas la preuve de l'absence », selon les mots de Carl Sagan.
La quatrième de couverture m’a tué ! La menteuse prétendait carrément « Qui de mieux que Nathalie A. Cabrol pour faire le point dans un essai vivant et didactique sur l’une des questions les plus profondes de l’humanité : sommes-nous seuls dans l’Univers ? »
Bof ! Tant pis pour moi qui ne suis pas biologiste, chimiste ou astrophysicien. J’ai tout lu, presque tout compris (je crois) et au final et je ne sais qu’une chose : on ne sait pas mais on cherche.
Que suis-je donc allé me fourvoyer dans ce pensum que j’ai trouvé beaucoup plus barbant que vivant ? Dans lequel j’ai appris que l’autrice était remarquablement désinhibée de toute forme de modestie paralysante, digne héritière auto-proclamée de Carl Sagan et de Franck Drake (l’astronome, pas le corsaire qui osa affronter l’Invincible Armada).
J’y ai également appris (je l’ignorais) que notre planète est en danger et que comme dirait Indiana Jones, entre deux vols en jet privé, « si on ne se bouge pas le cul on va perdre cette planète ». Un peu de catéchisme pour terminer un bon bouquin, ça ne fait pas de mal, n’est-ce pas ?
En conclusion de cette lecture un peu indigeste, ma toute petite intelligence me laisse à penser que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Personne ne sait si les autres sont des bactéries tapies au fond d’un océan gelé ou s’ils nous sont tellement supérieurs qu’ils se rendent invisibles à nos yeux. Mme Cabrol ne m’a pas vraiment aidé mais à présent je sais qu’elle existe, qu’elle est une personne très importante du SETI, que le SETI est un organisme chargé de trouver des bio-signatures et que les recherches continuent. Je leur souhaite le meilleur et, en attendant leurs prochaines révélations, je vais tenter de me trouver un bon roman.
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Et bien j'espère que vous allez trouver un bon roman à vous mettre sous les mains !