Une immense majorité d'entre nous aspire à passer à 4 jours-32 heures pour vivre mieux. De plus en plus de patrons réfléchissent à la semaine de 4 jours pour faciliter les recrutements. Mais est-ce réellement possible sans baisser les salaires et sans abîmer nos entreprises ? Bonne nouvelle : la réponse est oui. 500 fois oui. Plus de 500 entreprises en France sont déjà passées à 4 jours, sans baisse de salaire, et les clients n'ont vu aucune différence dans le prix ou la qualité des produits.
« 32 h ! La semaine de 4 jours c’est possible », d’utilité publique, cet essai est une bouffée d’air frais dans le monde gris et pénible du travail.
D’emblée on perçoit l’envergure de vivre autrement.
La semaine de 4 jours, ici, est posée avec sérieux et pragmatisme. Un nouvel outil pour la France, si elle voulait bien se donner les moyens de bouger un peu les codes. S’échapper des a priori et des clichés.
Pierre Larrouturou décortique ce vœu, cette volonté, 4 jours – 32 h sans baisse de salaire (ni augmentations de coûts de l’entreprise), 92% des entreprises qui ont testé la semaine de 4 jours veulent rester à 4 jours. Promouvoir cette avancée phénoménale à la carte.
« Un week-end de 4 jours toutes les deux semaines, 4 jours sur 5 et demi, 4 jours sur 6 (dans la distribution…), 4 jours sur 7 (dans les hôpitaux, les transports..), 1 mois sur 5 (pour certains chercheurs…), Alternance de semaine de 3 jours et de semaines de 5 jours (pour les chauffeurs routiers…), 4 jours sur 5 (pour la plupart des salariés), 1 semaine libre sur 5, 1 année sabbatique tous les cinq ans, etc. »
Casser le chômage, 4 jours, des milliers de travailleurs aspirent à cette expérimentation.
Cet essai est une pierre dans l’édifice des valeurs, il enclenche la vitesse supérieure. Il dévoile les entreprises qui ont acté des 32 h – 4 jours. Un pas de plus pour le bien-être du travailleur volontaire à cette réforme positive.
Plus de 500 entreprises ont acté ce mode de fonctionnement, comme un slogan incitatif pour les autres, celles qui sont frileuses et ne se donnent pas les moyens d’agir. Les recrutements sont facilités, tout est en ordre de marche, pour une société au plus près de l’humain.
« Alerter, informer, questionner », l’adage d’une collection engagée et visionnaire.
« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de citoyens réfléchis et engagés puisse changer le monde. D’ailleurs, cela a toujours fonctionné ainsi. » Margaret Mead.
Publié par les Éditions SeuiLibelle.
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