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Tout premier livre signé du nom d'Octave Mirbeau, ce recueil est proposé ici dans son édition originale de 1886. Les vingt et une nouvelles qui le composent, sont assez disparates et la plupart ont été rééditées ensuite, après avoir été remaniées. Chaque nouvelle est dédiée à un ami de l'écrivain - Zola, Maupassant, Huysmans... -, la nouvelle elle-même étant parfois écrite «à la manière de...». On y voit déjà transparaître le pessimisme de Mirbeau et la férocité de ses descriptions, tant du monde paysan que de la bourgeoisie. Les Lettres de ma chaumière sont le pendant des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet, que Mirbeau avait beaucoup critiqué pour son côté édulcoré, et pour avoir plagié d'autres auteurs.
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Initialement publié sous le nom "Lettres de ma chaumière", cet ouvrage rassemble vingt et un contes qu'a écrits Octave Mirbeau lors d'un séjour en Normandie. Il nous parle notamment de la condition des paysans normands en nous offrant des anecdotes sur leur vie quotidienne, utilisant pour les dialogues de certains récits le patois local.
On y découvre aussi des contes au dénouement cruel, voire fantastique, avec en toile de fond, toujours, un des travers de l'homme...
L'auteur se met en scène parfois, nous offrant par la même occasion des descriptions de la nature de façon très poétique.
Chaque conte est dédié à un de ses amis ou une de ses connaissances.
J'en retiendrai un particulièrement, un échange entre la Guerre et l'Homme, qui m'a fortement marquée de par son contenu et la triste actualité de ses propos...
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