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Ces deux auteurs ne font pas l'unanimité.
Mais leurs histoires ont du sens et se lisent aisément.
Des héros ordinaires placés dans des circonstances extraordinaires selon la définition de Marc Lévy.
Après on a que l'embarras du choix si on veut plus de fond et de style.
Sinon je vous invite sur ShortEdition où j'écris des nouvelles.
Accès facile sans spam ni contribution.
Un moyen d'être édité et mis en compétition.
Vous trouverez de nombreux auteurs et beaucoup de talents.
Merci pour l'invitation, je ne manquerai pas d'aller y faire un tour.
Pour les héros ordinaires dans des circonstances extraordinaires, je préfère de loin la subtilité et la poésie de Murakami (je suis plongée dans Kafka sur le rivage). L'important finalement c'est que chacun trouve son compte dans la lecture, quelle qu'elle soit...
Pascale
Pour ma part, j'ai "dévoré" ces deux romans en très peu de temps, les attendant avec impatience comme à chaque fois. Mais je dois dire que "La fille de Broocklyn" de Musso m'a impressionné !
Aucune lenteur dans l'histoire qui se tient avec des personnages forts. Je ne vais pas trop en dire sachant que vous Jean-Michel et peut-être d'autres ne l'avez pas encore lu ;)
On pourrait se demander, au vue du changement de style de Guillaume Musso, si on peut encore le comparer à Marc Lévy, qu'en pensez-vous ?
Dans l'attente de votre avis je vous souhaite une bonne soirée.
Quand j'ai lancé cette discussion je n'avais pas nécessairement l'idée de les opposer.
Je constatais que leur parution cyclique était presque synchrone ce qui pour les éditeurs devait être un cas de conscience commercial.
En fait les auteurs sont très différents.
Physiquement, en âge, en histoire personnelle.
Et les thèmes récurrents.
Amour et amitiés. Parfois du fantastique.
La mort toujours présente comme pour jouer avec elle, la contourner, la défier surtout chez Musso.
En amour, Lévy écrit des choses bouleversantes.
Tous les deux aussi s'essoufflent vers les 2/3 de leur livre.
Un peu comme les marathoniens au 30ème kilomètre.
Sur des plateaux radio ou télé j'ai pu apprécier la philosophie de vie de Lévy. Il observe et ne critique pas. Un regard posé et dénué d'angélisme ou de naïveté.
L'écrivain est un observateur, curieux. Il accepte. Il est ouvert.
C'est semble-t-il de mon point de vue le trait commun.
Et puis comme nous ils vieillissent. Mais je reste fidèle.
Sur une autre étagère Bernard Werber mène aussi sa concurrence.
Et bien d'autres encore.
A l'occasion passer me lire sur ShortEdition.
Vous verrez, c'est vraiment super.
Merci Stéphanie de votre passage et à vous lire lors de votre visite sur ShortEdition.
En réponse à l'humour de SofiC.
Ces 2 auteurs, best-seller, ont des parcours assez différents et il ne me paraît pas intéressant pour eux que l'un soit devenu le nègre de l'autre.
Ils ont un débit annuel qui reste une mesure assez raisonnable.
Quand vous prenez quelques exemples :
Ken Follett, John Grisham, Mickael Chrichton (décédé), Kathy Reichs, Anne Rice, Robin Hobb, cela tourne au même régime, en gros un titre par an.
Par contre, Stephen King écrit 1000 à 2000 mots par jour. Pratiquement une centaine de romans, nouvelles, saga dont le premier en 1974 et le dernier en 2015. Et des prix en pagaille depuis 1980. C'est impressionnant.
Sans compter les adaptations. Il a même écrit sous un pseudo.
C'est presque de l'enfermement à l'écriture.
Au point de se demander s'il ne se démultiplie pas.
Et l'on pourrait en citer d'autres. En fait cette discussion n'est juste qu'un prétexte à une démarche d'escalier.
C'est quoi un best-seller : la recette, le parcours, l'histoire, la thématique.
C'est qui ou quoi, un auteur de littérature, à partir de quel moment, le devient-il plutôt que d'être simplement un auteur à succès.
Voici donc quelques pistes à explorer que je ne vais pas manquer de vous proposer.
Messages : 2407
Le 04/04/2016 à 12h50
Ces deux auteurs ne font pas l'unanimité.
Mais leurs histoires ont du sens et se lisent aisément.
Des héros ordinaires placés dans des circonstances extraordinaires selon la définition de Marc Lévy.
Après on a que l'embarras du choix si on veut plus de fond et de style.
Sinon je vous invite sur ShortEdition où j'écris des nouvelles.
Accès facile sans spam ni contribution.
Un moyen d'être édité et mis en compétition.
Vous trouverez de nombreux auteurs et beaucoup de talents.
Merci de vôtre contribution sur Lecteurs.com.
A vous Lire
Amitiés
JM
Messages : 137
Le 04/04/2016 à 14h05
Pour les héros ordinaires dans des circonstances extraordinaires, je préfère de loin la subtilité et la poésie de Murakami (je suis plongée dans Kafka sur le rivage). L'important finalement c'est que chacun trouve son compte dans la lecture, quelle qu'elle soit...
Pascale
Messages : 179
Le 04/04/2016 à 19h38
Bonsoir tout le monde,
Pour ma part, j'ai "dévoré" ces deux romans en très peu de temps, les attendant avec impatience comme à chaque fois. Mais je dois dire que "La fille de Broocklyn" de Musso m'a impressionné !
Aucune lenteur dans l'histoire qui se tient avec des personnages forts. Je ne vais pas trop en dire sachant que vous Jean-Michel et peut-être d'autres ne l'avez pas encore lu ;)
On pourrait se demander, au vue du changement de style de Guillaume Musso, si on peut encore le comparer à Marc Lévy, qu'en pensez-vous ?
Dans l'attente de votre avis je vous souhaite une bonne soirée.
Mes amitiés,
Stéphanie
Messages : 2407
Le 04/04/2016 à 20h21
Merci de ne pas avoir dévoilé les histoires.
Quand j'ai lancé cette discussion je n'avais pas nécessairement l'idée de les opposer.
Je constatais que leur parution cyclique était presque synchrone ce qui pour les éditeurs devait être un cas de conscience commercial.
En fait les auteurs sont très différents.
Physiquement, en âge, en histoire personnelle.
Et les thèmes récurrents.
Amour et amitiés. Parfois du fantastique.
La mort toujours présente comme pour jouer avec elle, la contourner, la défier surtout chez Musso.
En amour, Lévy écrit des choses bouleversantes.
Tous les deux aussi s'essoufflent vers les 2/3 de leur livre.
Un peu comme les marathoniens au 30ème kilomètre.
Sur des plateaux radio ou télé j'ai pu apprécier la philosophie de vie de Lévy. Il observe et ne critique pas. Un regard posé et dénué d'angélisme ou de naïveté.
L'écrivain est un observateur, curieux. Il accepte. Il est ouvert.
C'est semble-t-il de mon point de vue le trait commun.
Et puis comme nous ils vieillissent. Mais je reste fidèle.
Sur une autre étagère Bernard Werber mène aussi sa concurrence.
Et bien d'autres encore.
A l'occasion passer me lire sur ShortEdition.
Vous verrez, c'est vraiment super.
Bises et Amitiés
JM
Messages : 366
Le 04/04/2016 à 22h38
Messages : 179
Le 05/04/2016 à 18h23
Je suis tout à fait d'accord avec votre constat sur ces deux auteurs, qui comme vous, j'ai plaisir à retrouver à chacune de leur parution.
J'irais lire avec plaisir vos créations sur ShortEdition.
Mes amitiés.
Stéphanie.
Messages : 2407
Le 05/04/2016 à 19h14
En réponse à l'humour de SofiC.
Ces 2 auteurs, best-seller, ont des parcours assez différents et il ne me paraît pas intéressant pour eux que l'un soit devenu le nègre de l'autre.
Ils ont un débit annuel qui reste une mesure assez raisonnable.
Quand vous prenez quelques exemples :
Ken Follett, John Grisham, Mickael Chrichton (décédé), Kathy Reichs, Anne Rice, Robin Hobb, cela tourne au même régime, en gros un titre par an.
Par contre, Stephen King écrit 1000 à 2000 mots par jour. Pratiquement une centaine de romans, nouvelles, saga dont le premier en 1974 et le dernier en 2015. Et des prix en pagaille depuis 1980. C'est impressionnant.
Sans compter les adaptations. Il a même écrit sous un pseudo.
C'est presque de l'enfermement à l'écriture.
Au point de se demander s'il ne se démultiplie pas.
Et l'on pourrait en citer d'autres. En fait cette discussion n'est juste qu'un prétexte à une démarche d'escalier.
C'est quoi un best-seller : la recette, le parcours, l'histoire, la thématique.
C'est qui ou quoi, un auteur de littérature, à partir de quel moment, le devient-il plutôt que d'être simplement un auteur à succès.
Voici donc quelques pistes à explorer que je ne vais pas manquer de vous proposer.
Amitiés
JM
Messages : 2407
Le 13/04/2016 à 13h40
Messages : 2407
Le 13/04/2016 à 13h42
Messages : 2407
Le 13/04/2016 à 13h46