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Un jeune couple japonais loue une maison dans laquelle a pris ses habitudes le chat du voisin.
Une histoire lente et douce dans laquelle on voit se tisser les liens entre le chat et le couple.
Pas facile à imaginer et à intégrer l'architecture intérieure japonaise.
A part ça, c'est une jolie histoire où il ne se passe pas grand chose, où le rythme semble ralenti, mais où les sentiments sont tendres et affectueux.
Les relations à l'animal sont quasiment fusionnelles.
C'est beau, doux, délicat, comme un chat... apaisant, comme la présence d'un chat.
J'ai aimé la douceur feutrée de ce roman.
C'est une histoire de chat, du mystère qui semble émaner d'eux, mais qui accompagne un choix de vie nouveau, un changement de cap, un renouveau, un virage.
De temps à autre Machiavel et Léonard de Vinci font une incursion dans l'histoire, tout comme l'art ; il y a tout un passage sur les lithographies d'un artiste au musée d'Osaki, qui je l'avoue m'a perdue un instant. Je suis hermétique aux discours intellectuels qui accompagnent l'art en général et là, je n'ai pas saisi l'intérêt.
Ce court roman, 131 pages, est comme une longue poésie en prose, une ode à la vie, aux saisons et à la nature... un vagabondage dans un jardin japonais aux côtés d'un petit félin venu du ciel.
Et bien que j'y ai parfois trouvé quelques longueurs, j'ai beaucoup aimé !
La fin m'a émue, moi qui aime tant les chats !
On sens une réelle osmose entre l'auteur et la nature à travers cette petite histoire de quartier. De belles descriptions d'un jardin abandonné en passant par la découverte du roi de ce lieu....un chat. On retrouve ici les ingrédients de l'écriture japonaise : art de la contemplation, qualité des descriptions, amour de la nature.
Un peu naïf sans doute, mais de temps en temps la littérature doit aussi servir à cela.
roman d'un poète japonais.
je l'ai trouvé particulièrement puéril, quotidien, sans intérêt
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