"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce roman ne peut que toucher celui qui le lira. Sarah Maeght m’a fait entrer dans le monde de deux personnes, deux personnes tellement attachantes, sensibles, singulières, aimantes. Ce sont Basile et Victoire. Basile, un petit garçon de neuf ans, un garçon différent s’il est possible d’utiliser ce terme car qu’est-ce réellement la différence? Basile est sans filtre, curieux, intelligent, franc. Basile est un garçon qui a du mal à trouver sa place. Il a des tocs et aime Prévert, étonnant non? Et Victoire est une jeune femme de vingt-trois ans. Une étudiante qui doit gérer ses études et son petit boulot pour pouvoir vivre. Elle est seule, vole et est un peu perdue. Les deux s’entendent très bien, ont une jolie complicité, complicité qui va se renforcer lors de leur semaine ensemble, semaine pendant laquelle ils vont vivre de sacrées aventures!
Dans « Les imbattables », Sarah Maeght aborde des thèmes assez difficiles: la différence, le harcèlement scolaire, la vie difficile des étudiants, l’absence des parents. L’auteure nous en parle par l’intermédiaire des deux personnages et cela est naturel, fluide dans l’histoire. La plume de Sarah ne peut qu’enchanter le lecteur de part sa sensibilité, ses mots touchants, sa tendresse. En lisant « Les imbattables », j’ai souri, eu la larme à l’oeil. J’ai voulu aider Basile et Victoire. J’ai eu envie de les accompagner pendant leur semaine incroyable. Et il faut également mettre en avant les personnages secondaires, Allison et Adam, qui ont aussi une jolie place dans cette belle histoire d’amitié. Lire « Les imbattables », c’est passer un très bon moment de lecture qui passe trop vite avec des personnages qu’on aimerait connaître. Lire « Les imbattables », c’est tomber amoureux de la plume de l’auteure et en vouloir encore plus d’elle. « Les imbattables » est un très joli roman à découvrir!
Il y a des romans que l’on n’attend pas particulièrement. Qu’on ouvre, un peu au hasard et dans lesquels on s’engouffre avec un plaisir, comme une jolie pochette surprise.
C’est exactement ce qui vient de m’arriver avec LES IMBATTABLES de Sarah Maeght (merci de prononcer « mag », je tiens cette information de source sûre).
Basile a neuf ans. Il connaît par cœur une foule de choses inutiles et donc totalement indispensables. Il classe les gens qui l’entourent dans deux catégories, les dignes et les indignes, il aime Jacques Prévert et a un caractère bien trempé.
Victoire, elle, est étudiante. Elle rêve de l’Amérique et reste hantée par un amour toxique. Elle tente de joindre les deux bouts entre baby-sitting et fausses bonnes idées pour gagner sa vie.
Tous les deux vont nous faire vivre une folle semaine dans un Paris rempli d’une jolie humanité.
Moderne, coloré, brillamment contemporain, LES IMBATTABLES est un roman qui se dévore en quelques heures. Sous des allures cinématographiques, léger comme une comédie derrière laquelle se cache une certaine réalité, c’est un roman qui se lit d’une belle traite, comme on se promène main dans la main avec quelqu’un qu’on aime.
Ce roman fait partie de ceux sortis au mauvais moment, à l’heure où déambuler en librairie n’est plus possible. Un roman sur la vie d’avant mais qu’il faut lire maintenant, juste pour se faire un peu de bien, juste pour souffler un peu. Pour se souvenir de nos déambulations justement, celles qui prennent tant de sens aujourd’hui…
Victoire a grandi auprès d’une mère fragile, accro aux jeux vidéo. Etudiante, elle se prend d’affection pour le petit garçon qu’elle garde après ses cours, Basile, dont la mère est trop occupée pour prendre soin de lui.
Un matin, alors qu’elle doit le conduire au départ de son voyage scolaire, Victoire arrive en retard et Basile rate le car. Sa mère étant injoignable et en déplacement pour plusieurs jours, Basile et Victoire se retrouvent en tête-à-tête, ou presque, pendant trois jours.
Un roman facile et plein de bons sentiments.
A lire en mangeant une pizza.
"Les imbattables" se composent de Basile, neuf ans, surdoué, précoce, au léger Toc, passionné de Jacques Prévert et d'une intelligence supérieur. A côté, Victoire, sa babysitter, vingt-trois ans, célibataire, étudiante à la faculté, rêve de quitter la France pour étudier aux Etats-Unis, et qui ne sait pas dire "non".
Une mère complètement absente mentalement, physiquement, émotionnellement, trop occupée à son métier de scénographe. Elle délaisse son fils et s'appuie beaucoup, trop, sur Victoire.
Quand Basile doit partir pour un voyage scolaire en Normandie, sa mère est absente, Victoire est présente mais le bus n'est déjà plus là ! Commence alors une semaine inoubliable pour l'un comme pour l'autre. Une semaine qui change une vie !
Stop ! Le mystère plane, je n'en dirai pas plus sur l'histoire ! La force qui sort de ce roman est réellement le personnage de Basile. Un petit garçon attachant, touchant, passionnant et avec un sens de la repartie et de l'humour incroyable qui vous fera sourire plus d'une fois !
Sarah Maeght à travers ce nouveau roman aborde des sujets essentiels et sensibles : les enfants "différents", le harcèlement scolaire, les parents absents de l'éducation, les difficultés étudiantes, le regard sur soi-même...
Un roman qui fait bu bien, une plume lumineuse, pleine d'amour, de tendresse. La découverte de Sarah Maeght fait "bim bam boum" dans ma tête. je me suis laissé envahir par son histoire à tel point que ce roman se lit d'une traite. On ne peut qu'être touchant par ce petit Basile !
Un roman idéal pour vos longs dimanches d'automne ! Ne tardez pas a rencontrer "Les imbattables", à coup sur vous les adopterez aussi !
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