"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une très belle conclusion à la saga "Le cercle des canailles". Les personnages sont très attachants, puissants, multiples facettes, déstabilisants et percutants. J'adore les liens mis en valeurs entres les tomes. Suspense, tension, romance, confrontations et révélations.
"- Vous m'avez invité dans votre lit chaque fois que vous m'avez regardé. Et ce, depuis que nous nous connaissons.
Elle hésita, ignorant comment se comporter avec cet homme si différent de celui qu'elle avait cru connaître.
- Vous vous trompez.
- J'ai raison. Et pour être franc, j'ai eu envie d'accepter. Chaque fois."
Temple, le troisième membre des anges déchus du cercle, l'histoire est bien rythmée et agréable contrairement à d'autres saga je ne conseille pas de lire les tomes dans le désordres ou indépendamment. Dans cette opus on retrouve les personnages des précédents tomes. Légèreté, suspense et révélation en plus de la romance. Un très bon tome.
"— J’étais nu, Mara. Je me souviens de vos cheveux dénoués. De votre torse penché sur moi.
Elle rougit, et il sut ce qu’il voulait. Il monta sur la petite estrade en évitant de la toucher.
— Est-ce que nous avons…
— Excusez-moi, Votre Grâce.
— Un moment, madame Hébert, dit-il sans regarder la couturière.
La Française fit demi-tour sans discuter.
Il enlaça Mara et l’attira à lui. Les torses se soudèrent, les cuisses se touchèrent. Elle lâcha un petit cri, mais il n’entendit aucune peur dans sa voix.
Doux Jésus, elle n’avait pas peur de lui. Depuis quand n’avait-il pas tenu dans ses bras une femme qui ne le craignait pas ?
Depuis qu’il l’avait tenue, elle.
— Est-ce que nous l’avons fait, Mara ? chuchota-t-il à son oreille.
Et il ne put se retenir de lui mordiller le lobe, ce qui la fit frissonner de plaisir."
Un excellent second opus de cette saga, Cross et Pippa sont des personnages touchants et attachants, on retrouve de l'humour, de la légèreté, de la douceur, la tendresse et la sensualité mais beaucoup de très bonne joutes verbales. Une belle ambiance par les décors, l'autrice a bien construit l'histoire et ses personnages. Aventure, romance et intrigue imprévisible et addictive. Une très bonne lecture.
"Elle était folle. Il s'en serait rendu compte cinq minutes plus tôt s'il n'avait pas été à moitié endormi et si le spectacle qu'offrait cette jeune femme blonde à lunettes, penchée sur son livre de comptes, ne l'avait pas sidéré."
Premier opus de la saga Le cercle des canailles de Sarah Maclean où l'on découvre 4 aristocrates déchus par la bonne société ouvrant un club.
Dans le flambeur nous suivons l'histoire de Michael, Marquis de Bourne qui à tout perdu par cupidité et stupidité aux jeux. Neuf ans plus tard, il a refait fortune et, à la tête d'un club, plume sans pitié les pauvres diables tenaillés par l démon du jeu. Toutefois, il n'a pas récupéré son domaine ancestral, Falconwell, dont son ex-voisin est désormais propriétaire. Lorsque celui-ci annonce que ces terres font partie de la dot de sa fille, Bourne décide, sans éprouver le moindre état d'âme, d'épouser Pénélope. Qu'elle le veuille ou non. Il kidnappe donc la jeune fille bien qu'elle soit son amie d'enfance.
Un livre addictif, on plonge de suite dans l'ambiance, une romance assez forte, un compromis à un autre, des pièges, une soif de vengeance, un roman bien écrit, des personnages attachants. Lecture sympathique.
"Elle se tortilla si violemment qu'il la sentit glisser et qu'un pied s'approcha dangereusement d'une partie précieuse de son anatomie.
Il grommela, raffermit sa prise.
— Arrêtez, s’écria-t-il en lui flanquant une tape sur les fesses.
Elle se raidit.
— Ce n'est pas possible... Je ne peux pas... Vous m'avez frappée !
Il poussa la porte des cuisines de Falconwell, entra, posa sa lanterne sur la table et déposa Pénélope au milieu de la pièce.
— Vous portez une telle quantité de vêtements que je suis surpris que vous ayez senti quelque chose, répliqua-t-il.
— Peu importe ! s’écria-t-elle, le regard brillant de fureur. Jamais un gentleman ne se permettrait de me... de me...
S'amusant de son embarras, il proposa :
— Le mot que vous cherchez ne serait-il pas « fesser » ?
Elle écarquilla les yeux."
"Le problème avec les mensonges était qu'il était trop facile d'y croire. Même si c'était vous qui les profériez."
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