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Patricia Almarcegui

Patricia Almarcegui

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Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Carnets perdus du Japon » de Patricia Almarcegui aux éditions Intervalles

    Yv Pol sur Carnets perdus du Japon de Patricia Almarcegui

    Court ouvrage de Patricia Almarcegui, grande voyageuse et connaisseuse du Japon qui cite des écrivains, donne ses impressions, comme ça, sans ordre repérable par le lecteur lambda que je suis. Ce sont des impressions de voyage, donc des idées qui viennent, se suivent ou pas, se font parfois écho...
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    Court ouvrage de Patricia Almarcegui, grande voyageuse et connaisseuse du Japon qui cite des écrivains, donne ses impressions, comme ça, sans ordre repérable par le lecteur lambda que je suis. Ce sont des impressions de voyage, donc des idées qui viennent, se suivent ou pas, se font parfois écho : à une réflexion est juxtaposée une citation d'un écrivain, d'un cinéaste. Elles suivent l'esprit de l'autrice qui parfois, comme les autres esprits, divague, saute d'une idée à une autre sans lien apparent. J'aime bien. Ce n'est pas un essai, on ne sortira pas de ce livre en ayant une idée précise de ce qu'est le Japon, mais par petites touches, par petites phrases, Patricia Almarcegui, nous raconte son Japon, et l'on y voit beaucoup de beauté, de respect pour les traditions et l'apport culturel massif -entre autres, pour le Bauhaus, Walter Gropius, après un séjour à Kyoto, écrit à Le Corbusier : "Tout ce pour quoi nous nous sommes battus a son parallèle dans l'ancienne culture japonaise." (p.44)-, mais aussi de la nostalgie d'un pays qui disparaît : "Qui a permis au Japon d'être traditionnel ? Sa contemporanéité, sa précision et sa minutie sont frappantes et constituent des stéréotypes du pays. Mais que pouvait-il faire d'autre que reconstruire, aller de l'avant et devenir résolument moderniste ?" (p.111)

    L'attrait que l'autrice a pour ce pays ne l'empêche pas d'en noter les travers, par exemple la place des femmes :

    "Il existe des temples bouddhistes où les femmes peuvent se rendre afin de prier pour les âmes de leurs avortements, même si officiellement le bouddhisme s'oppose au fait d'ôter la vie." (p.90)

    "Il n'est toujours pas considéré comme avantageux pour les femmes d'être plus qualifiées que leurs maris. Le mariage reste le grand objectif pour la plupart d'entre elles." (p.92)

    Nul besoin d'être féru voire connaisseur du Japon pour lire ce livre, c'est sans doute mieux pour saisir toutes les références, les allusions aux coutumes et lieux emblématiques du pays, mais il n'est pas rédhibitoire de n'en savoir que peu, il faut juste être curieux. Et si je n'ai pas tout compris, tant pis, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire cet ouvrage, qui parfois, fait dans le sibyllin, très visuel : "Les paysans traversent les rizières à vélo avec des chapeaux pointus." p.101). Une manière de découvrir un pays tout en nuances et en complexités

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    Couverture du livre « Le peintre et la voyageuse » de Patricia Almarcegui aux éditions Intervalles

    CELINE HUET-AMCHIN sur Le peintre et la voyageuse de Patricia Almarcegui

    Dans ce livre, Patricia Almarcegui réunit deux personnes qui ont existé mais qui n’ont pas pu se rencontrer puisque un siècle les sépare : le peintre français Jean-Dominique Ingres (1780-1867) et l’écrivain grand voyageur britannique Mary Wortley Montagu (1689-1762).

    Une uchronie donc,...
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    Dans ce livre, Patricia Almarcegui réunit deux personnes qui ont existé mais qui n’ont pas pu se rencontrer puisque un siècle les sépare : le peintre français Jean-Dominique Ingres (1780-1867) et l’écrivain grand voyageur britannique Mary Wortley Montagu (1689-1762).

    Une uchronie donc, brillante et savoureuse à souhait…

    Et c’est bien là tout le charme du livre qui opère dès les premières lignes.
    Avoir su marier à ce point deux parcours historiques (qui n’ont rien à voir sur le papier mais qui ne sont pris au hasard non plus) est captivant, qui plus est lorsque la plume (lumineusement contemplative) est à la hauteur du coup de pinceau !

    La vision de l’Orient, la représentation de la femme dans la peinture et la place de l’Art dans la société…
    A travers des conversations plus vraies que nature où le lecteur croisera également Baudelaire, Delacroix et Nerval, l’écrivain nous propose un voyage de toute beauté et extrêmement enrichissant.

    Un premier roman remarquablement maîtrisé, des plus sublimes.
    Je le recommande vivement.

    Ma chronique sur https://arthemiss.com/le-peintre-et-la-voyageuse-de-patricia-almarcegui/

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