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Entre feu et virus, quel fléau pour sauver l'autre...
Ici nous retrouvons Écho après être devenue l’Oiseau de feu qui se cache dans un entrepôt
à Londres avec son groupe d'ami. Sauf que Jasper a été blessé et le seul qui peut le soigner
est un sorcier du nom de Quinn et qui fait partie du passé de celui-ci. Entre temps le monde
est touché par un fléau qui se propage rapidement, et qui a été libéré en même temps que
l’Oiseau de feu qui est la Kuçera. Écho et ses amis vont devoir traquer cette chose mais ils
se rendent vite compte qu'ils ne sont pas les seuls à vouloir le faire. Mais quand le Nid est
attaqué et que les Aviciens sont obligés de se terrer dans un lieu tenu secret,
Écho sent qu'il est temps pour elle de traquer cette chose mais seule. Caius et Rowan vont
devoir faire équipe pour la retrouver mais quand les sentiments s'en mêlent ça va chauffer...
Bon il faut savoir que j'ai lu le 1er tome en 2017 du coup j'ai eu un peu de mal à m'y
retrouver dans les évènements passés. Malgré tout je peux dire que ce second tome est
beaucoup plus sombre que le premier et surtout le triangle amoureux prends forme même si
pour Caius il s'agit surtout du passé quelques voit à travers Écho. Beaucoup plus d'actions
et de rebondissements permettent au récit d'avoir un rythme assez soutenu qui ne retombe
jamais.
Ici nos héros n'ont jamais été en mesure de prendre le dessus sur les évènements qui
se déroulent malgré le fait qu'ils parcourent le monde à la recherche de documentation.
J'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur les passés de Jasper mais aussi d'Echo qui nous
permettent de comprendre un peu plus les caractères de ceux-ci. Mais j'ai eu un coup de cœur
pour des personnages plus secondaires à savoir Dorian et Ivy. En effet avec ce premier on
aborde l'homosexualité sous un angle plutôt gentillet mais surtout il se rends compte que
finalement l'animosité entre son peuple les Darkharin et les Aviciens n'est finalement que
de la poudre aux yeux et qu'il faut voir plus loin. À côté de cela Ivy gagne en caractère et
en force et quand elle se propose pour infiltrer l'ennemi elle a réussi à gagner mon cœur.
J'ai trouvé Caius un peu en retrait face à Rowan qui lui a pris toute la place qu'ont
fallait aux côtés d'Echo.
L'auteure ici réussi à englober 3 mondes différents malgré toutes les différences qu'ils
peuvent avoir. Sa plume plutôt fluide et sans vraiment de défauts nous permet d'avoir une
lecture des plus agréables, sans chichis et sans longueurs.
Dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé ma lecture même si le contenu paraît un peu cliché,
en même temps il s'agit d'un YA qui date un peu du coup on connaît un peu les rouages
maintenant et il ne faut pas s'attendre à une lecture exceptionnelle concernant ce roman.
Il réuni donc deux triangles amoureux, des créatures légendaires, des personnages au passé
un peu douteux et un ennemi tout de même assez badass.
En bref, un bon fantastique/fantasy mais qui souffre un peu des clichés YA et dont la suite
n'a jamais été traduite.
Je ne savais pas à quoi m’attendre en découvrant le premier roman de Melissa Grey, The Girl at Midnight : de plumes et de feu. J’étais juste attirée par cette couverture aux tons sombres, par cette ambiance mystique, quasi-enchanteresse qui en ressortait. Puis son résumé, m’a intriguée, l’histoire d’une jeune femme au prénom atypique prise dans une guerre ancestrale entre des créatures surnaturelles aux étranges caractéristiques.
Finalement j’ai dévoré, adoré cette histoire. Je ressors complètement enchantée par l’univers de The Girl at Midnight, complètement charmée par les personnages qui peuplent ce monde. Melissa Grey, avec son nouveau monde a su me captiver jusqu’à la dernière page, je n’ai pas su reposer le livre avant de connaître la fin de cette histoire.
J’ai vraiment été surprise, je ne m’attendais pas à trouver un univers aussi fantastique, aussi riche et développé. Non plus à découvrir l’histoire de ces créatures surnaturelles, que ce soit les hommes-oiseaux (les Avicens) ou les hommes-dragons (Les drakharins). L’auteur a un style très fluide, très simple et très imagé. On imagine facilement à travers sa plume féérique, la magie qui entoure ce monde, les caractéristiques physiques comme les plumes, les écailles de dragons qui sont magnifiquement bien décrites.
Une mythologie fantastique vraiment originale et prenante. Un univers magique caché aux yeux des humains vraiment intéressant. L’histoire est pleine de rebondissements, pleine de révélations. On se plonge avec une facilité déconcertante dans cet univers atypique, on vit réellement l’aventure avec eux. Une histoire sans temps mort avec un petit air de romance qui saura largement vous séduire.
Si l’univers et l’histoire m’ont complètement enchantée, les personnages ne sont pas en reste ! Je suis tombée sous le charme de cette jeune fille, Echo.Il s'agit vraiment d'une héroïne comme on – je – les aime, elle a un fort caractère, très protectrice, prête à tout pour les personnes qu’elle aime voire à risquer sa vie. Elle va vous séduire comme elle a su le faire avec moi notamment par son petit côté audacieuse, courageux. Mais vous apprécierez aussi, sans aucun doute, son humour. Puis il y a Caius, comme tout héros de roman qui se respecte, il est charismatique et « charmant » à souhait. J’ai adoré ce personnage, un peu plus sournois et mystérieux que les autres protagonistes. Je conclue simplement en disant que les personnages principaux ou secondaires qu’on rencontre tout au long du roman, sont tous bien travaillés et finalement assez complémentaires.
Pour moi donc, The Girl at Midnight est une nouvelle saga à suivre ! De plumes et de feu est un premier tome très prometteur, quasiment parfait. L’univers, les personnages ou l’histoire en elle-même, le tout est vraiment bien ficelé et captivant. Je suis impatiente de découvrir la suite des aventures d’Echo et de retrouver son univers magique et très riche !
Un livre qui sépare monde réel et monde fantastique. Echo, une jeune orpheline recueillie par les Avicens, peuple "homme-oiseaux" se voit, par l'échec d'une mission, obligée de coopérer avec certains membres des Drakharins, peuple "homme-dragons" afin de retrouver la trace du légendaire Oiseau de feu. Les deux clans étant en guerre depuis des siècles, la rivalité ne cesse de s'agrandir autant que les conflits internes. Melissa Grey, auteure du livre "The Girl at Midnight", parvient à questionner les problèmes qui subsistent dans une société aussi différente soit-elle. De la joie, de la tristesse, de la colère...toutes les émotions sont réunies à travers ces pages.
Echo est une humaine. Pourtant, elle a été recueillie lorsqu’elle était enfant par les Avicens, des créatures mi-hommes, mi-oiseaux. Ces derniers luttent depuis des siècles et des siècles contre les Darkharin, mi-hommes, mi-dragons. Alors quand Echo se voit confier une mission qui pourrait mettre fin à la guerre : trouver l’Oiseau de Feu, et lui permettre d’enfin prouver qu’elle est une Avicens malgré son absence de plumes, la jeune fille n’hésite pas. Mais c’est sans compter sur Caius, le prince des Darkharin, qui convoite également l’Oiseau…
Des portails magiques qui font voyager d’une ville à l’autre, une mythologie originale, des dialogues piquants et agréables à lire… The Girl at Midnight avait tout pour me plaire. Les personnages sont dans l’ensemble bien travaillés et il est agréable de naviguer d’un point de vue à l’autre : ce procédé rappelle aux lecteurs que rien n’est blanc ou noir, qu’il existe des ennemis et des alliés dans les deux camps. De même, l’univers est intriguant, avec ces hybrides qui préfèrent la magie à la technologie et qui se cachent aux yeux des humains. Pourtant, malgré tous ces bons points, l’alchimie n’a pas pris…
Avec son rythme inégal, The Girl at Midnight manque de consistance. Les relations que tissent les héros entre eux m’ont parues artificielles car développées sur un laps de temps très court (une semaine maximum). De même, les événements s’enchaînent mais donnent malgré tout une impression de lenteur, à cause d’une romance beaucoup trop mise en avant. En effet, l’auteur s’attarde plus sur les flirts que sur la quête de l’Oiseau de Feu… L’univers et la fantasy sont alors relégués au second plan et deviennent prétextes à développer plusieurs triangles amoureux.
À force de délaisser son intrigue au profit d’intrigues sentimentales superficielles, The Girl at Midnight manque donc de profondeur sans pour autant être un ratage total. Rappelant Fille des Chimères de Laini Taylor, l’univers reste plein de charme et gagnerait à être développé. Si toute cette romance précipitée et prépondérante ne vous gêne pas, The Girl at Midnight pourra cependant vous plaire.
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