Le dernier des Léotard. S'il a souhaité publier sous le nom de sa mère, Marie-Hélène LEOTARD, auteur, peintre et artiste, s½ur aînée du comédien et de l'homme politique, c'est « à la fois pour lui rendre hommage au même titre qu'à mon père, parce qu'elle m'a appris à écrire en dernière année de m...
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Le dernier des Léotard. S'il a souhaité publier sous le nom de sa mère, Marie-Hélène LEOTARD, auteur, peintre et artiste, s½ur aînée du comédien et de l'homme politique, c'est « à la fois pour lui rendre hommage au même titre qu'à mon père, parce qu'elle m'a appris à écrire en dernière année de maternelle et qu'elle m'a communiqué son virus de l'écriture et, tout particulièrement, de la poésie » avoue Marc. « Alors que mon père m'a plutôt enseigné l'art du plan en trois parties et celui de la dialectique... » ajoute-t-il avec humour. C'est également un clin d'½il « à mes racines méditerranéennes et au clan Léotard, cette famille de saltimbanques et d'amoureux du Verbe, du récit et du livre, parce que l'on écrit tous chez les Léotard... tout en rendant justice aux quatre filles de la famille, oubliées de l'histoire, parce qu'on a toujours beaucoup plus parlé de mes oncles que j'ai beaucoup aimés également.» Tout particulièrement Philippe auquel il rendra hommage en créant le premier ‘Prix Philippe Léotard' lors du festival Rencontres Improbables en 2011, François qui l'introduira en politique et Dominique, qui l'initiera à la communication, et avec lesquels il cultivera notamment sa passion pour son arrière-grand-père, Ange Tomasi, photographe corse. A l'image de Frédéric ou de Faustine, fils et fille de Philippe, respectivement artiste-peintre et comédienne, Marc s'inscrit parfaitement dans la tradition artistique de la famille Léotard... « Ma mère et moi nous rêvions d'être clowns, de dessiner et de jouer de l'accordéon et moi, adolescent, je me voyais bien comme Dylan Thomas vivant nu-pied de ma poésie et de l'air du temps...».