80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En 1840, Adeline Fabre, jeune veuve d’un général d’empire, gère Puynègre, une jolie propriété située en plein Périgord noir, quelque part entre Limeuil et Le Bugue. Son beau-fils, Jérôme, s’apprête à entreprendre un voyage en Orient, périple fort à la mode chez les nantis de l’époque. De vieilles amies demandent à Adeline de bien vouloir permettre à un certain Monsieur de Céré d’avoir accès aux ouvrages de la bibliothèque de Puynègre pour ses études sur l’architecture du cloître de l’abbaye de Cadouin. Mais le personnage en plus d’un intellectuel et d’un esthète est également un jeune et charmant dandy pétri d’idées romantiques qui vit la plupart du temps à Paris et fréquente les milieux intellectuels et littéraires. Adeline tombe vite amoureuse de ce beau ténébreux…
« Puynègre », suite de « Fontbrune », est un roman sentimental placé dans un contexte historique et de terroir particulier. Avec beaucoup de précisions et de détails très vraisemblables, l’auteur s’attache à faire vivre tout un petit monde provincial et parisien tout en déroulant une histoire d’amour assez classique au bout du compte. Au-delà de l’essentiel de ce gros roman principalement consacré aux émois et ébats de nos deux héros, l’accessoire, c’est-à-dire le contexte, la vie et les mœurs de la bourgeoisie et de la petite noblesse périgourdine très minutieusement décrits est sans doute le versant le plus intéressant de cet ouvrage bien écrit et fort agréable à lire. La plume de Mme Le Varlet a quelque chose de balzacien tout à fait plaisant.
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