"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un amour absolu, intense et incommensurable. Ensemble ils avaient connu la vraie vie, celle qui exige effort et patience, acceptation et tolérance , respect et don. Et le don de soi. .
Le temps était leur allié. Rien n'était considéré comme acquis " Tels des amants du premier jour, nous luttions pour qu'il y eût un lendemain" ils ont vécu ainsi quarante années.
Main dans la main, ils avaient bâti une relation où le bonheur de l'autre passait avant soi.
Ensemble ils avaient conceptualisé, mystifié l'acte d'aimer l'autre et c'était devenu la quête de leur vie. .
A travers cette lettre à Laurence, l'auteur, veuf, livre un témoignage, intime et pur sur un amour durable au delà de la mort.
Une hymne à l'amour, à la femme aimée. A son Lion caramel. .
C'est beau, émouvant et béni celui qui connaît une telle grâce
Une lettre courte, intense, nouée par l'émotion écrite à chaud, après la mort de Laurence, par l'auteur de "L'amour durable". La simplicité et la sincérité de son contenu signifient assez que le diariste ne triche pas avec ses sentiments et que l'expérience qu'il dévoile par fragments est hors du commun. Un livre dont la lecture ne laisse pas indemne, et dont l'écriture sobre, pudique, limpide prolonge celle de nos plus grands auteurs classiques.
ce livre est dans mon panthéon (et ils ne sont pas si nombreux)... Une "bible" de l'amour conjugal, qui va au-delà du témoignage. Le "lion" de l'auteur est omniprésente, remplit le coeur, la vie et les pages de cet opus à offrir..
Un homme, écrivain et diplomate, sorte de double de l’auteur, s’interroge sur le sens de sa vie, sur l’amour, la mort, l’amitié, la transcendance, entre autres choses. Pris dans le tourbillon de la vie, se préoccupe-t-on si l’âme meurt avec le corps ou si quelque principe supérieur la sauve de l’anéantissement ? Il faut dire que la mort rôde autour de lui. Il vient de perdre J., une amie très chère, suite à une longue et douloureuse maladie. Son frère est mort pendant une escarmouche au début de la guerre, sa mère également victime d’une rafale de mitraillette en août 44 et son père pour achever la série. Sa vie ne trouve un sens qu’auprès de sa compagne et dans le calme de la nature. Il songe même à tout quitter pour ne plus se consacrer qu’à son art.
« Les aveux infidèles » se présentent comme des confidences décousues, qu’on dirait écrites au fil de la plume dans une série de courts chapitres sans véritable lien les uns avec les autres. Une suite d’impressions introspectives, une auto-analyse et même une autobiographie spirituelle. Jacques de Bourbon-Busset, qui est loin d’être un mystique, est parti d’un rejet de la transcendance pour lentement y revenir sous l’influence de sa compagne. En chemin, il s’est interrogé sur tous les grands thèmes de la philosophie. Le lecteur y trouvera les influences d’Alain, de Kant et de quelques autres ainsi que de Paul Valéry en ce qui concerne la poésie. Ces aveux « infidèles » (au sens que les mots peuvent souvent trahir la pensée) laissent au lecteur une impression de légèreté pour ne pas dire de futilité. Ils restent la plupart du temps à la surface des choses sans jamais les approfondir vraiment. Ils posent plus de questions qu’ils ne proposent de réponses. Mais la vie n’est-elle pas ainsi ?
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