"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
J'ai lu que c'était la plus grande série écrite par un seul auteur. En tous cas je me rappelle m'être précipité à la parution de chaque nouveau volume.
Raymonde est une adorable vieille dame qui vit seule dans son immense demeure depuis le décès de son mari. Pour rien au monde elle ne voudrait quitter sa demeure, surtout pas pour une maison de retraite ! Mais la solitude lui pèse, et la bâtisse est froide, ces grands murs de pierre...Son amie Augusta a bien de la chance de vivre chez son fils est d'être ainsi dorlotée. Raymonde est capable de tout pour passer Noël au chaud, vraiment de tout.
Un polar drôle, incisif et corrosif.. Ce livre m'a surpris… Je ne m'attends pas vraiment à ça et la fin est surprenante…
Les mamies ne sont pas gentilles, les protagonistes sont bien typés: un Laurent bien indécis, une belle fille silencieuse, une petite fille intriguante, bref des défauts coupés au rasoir.
Le style de l'auteur est formidable et j'ai adoré cette lecture, alors que d'habitude je n'aime pas les polars.
J'ai ri à la lecture car Raymonde est fantastique!!! Foncez découvrir ou redécouvrir ce livre...
Le caudillo Herandez a placé face à un dilemme terrible le malheureux Jdrien maintenu prisonnier dans des geôles blindées pour qu’il ne puisse pas communiquer par télépathie avec quiconque. Ou il arrive à obtenir que les Roux cessent leur guerre de sape ou il est condamné à mort par pendaison. Aucune des conditions demandées pour sa libération n’étant acceptable par Yeuse, son demi-frère Liensun va tenter de le libérer d’une manière pour le moins originale. Il pourra profiter de la collaboration d’une baleine géante, volante et habitée par de nouveaux Jonas. Il est presque sur le point d’y parvenir. Il réussit à sortir Jdrien de sa cellule, mais au moment de remonter en altitude, la pauvre baleine se retrouve coincée, ce qui compromet fortement la réussite de cette action spectaculaire d’autant plus que les gardiens un moment surpris réagissent très vite en usant de mini-missiles aussi puissants que dévastateurs…
« Les tombeaux de l’Antarctique », 60e tome de la saga-fleuve « La compagnie des glaces » continue dans la lancée science-fiction, rétro-futurisme et steampunk de l'œuvre, avec pour cet épisode une plus forte connotation dramatique. En dépit de tous les efforts de Gus, le Bulb n’en finit pas d’agoniser, hypothéquant les possibilités de survie des habitants de cet étrange satellite. Et tout se conclut devant trois tombes quelque part dans les immensités glacées de l’Antarctique. La figure émouvante de Jdriele, le très vieux Roux au grand cœur se détache de cette histoire. Son dévouement, sa ténacité et son courage nous laissent une belle leçon de fidélité à méditer. Style de qualité toujours aussi agréable à lire pour la détente et le divertissement bien sûr !
En Patagonie, la Guilde a débarqué entre 20 et 30 000 hommes ainsi qu’un formidable matériel militaire. Pour éviter de se retrouver capturée, la Présidente Yeuse Semper, à bord de son train a fui en direction des sommets enneigés de la Cordillière des Andes. Elle finit par se retrouver encerclée à Isabel, petite station de l’ouest, au pied des montagnes, sur la ligne 1917. Elle avait tenté d’organiser un guet-apens qui a lamentablement échoué. Parviendra-t-elle à échapper à ses poursuivants ? Pendant ce temps, les Harponneurs détruisent systématiquement toutes les stations qui tentent d’opposer la moindre résistance à leur progression. Autant dire que la situation n’est pas loin d’être désespérée, les forces loyalistes étant en infériorité numérique et technique…
« Les millénaires perdus » fait partie de la saga fleuve « La compagnie des glaces ». On peut classer ce tome dans une forme de science-fiction uchronique, fantastique et avec des touches de steampunk. En effet, ce seront les hydravions, les dirigeables et autres monstres aériens qui permettront d’éviter la catastrophe annoncée. Une fois encore, les problèmes de logistique, de ravitaillement des populations et autres impédimenta purement matériels se retrouvent au premier rang des préoccupations. Si on y ajoute quelques épisodes assez crus et un certain nombre de scènes de batailles, on obtient un cocktail plutôt sympathique d’aventures pleines de suspens et de rebondissements. Le lecteur n’avance qu’un peu dans l’intrigue. Ainsi apprend-il que le fameux héritage du Bulb sur lequel il se posait des questions au tome précédent n’est après tout que désastre, misère, dégoût de l’humanité, haine et mort. Tome intéressant surtout pour l’imagination et la qualité du style du grand G.J.Arnaud.
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