"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une collection de livres que j'affectionne et je commence à avoir lu plusieurs ouvrages de cette collection : Installer un auteur une nuit dans un musée ou lieu de mémoire.
Certains m'ont ému, certains m'ont intéressé, d'autres 'ont appris des choses, d'autres m'ont déçu. J'ai découvert des lieux, des écrivains, des personnalités, des histoires.
Cette fois, je vais retrouver un auteur, car j'avais lu et apprécié son texte sur Bertrand Tavernier, "Si nous avions su que nous l'aimions tant nous l'aurions aimé davantage" et j'ai retrouvé sa sincérité, simplicité, délicatesse dans sa façon de conter son travail, ses relations avec les autres.
Cette fois, nous allons passer la nuit avec lui dans la « Villa Lumière » dans le quartier de Monplaisir, à Lyon, situé dans la fameuse Rue du Premier Film C'est devenue l'adresse de l'Institut Lumière qui accueille également le Musée Lumière et notamment le Hangar du Premier-Film (dernier vestige des usines Lumière, classé Monument Historique).
Ce lieu n'est pas inconnu pour Thierry Fremaux, car il y travaille depuis très longtemps et cela va être l'occasion de rendre hommage à ceux qui y officient. Il nous parle aussi très bien de la cinéphilie, du cinéma, des réalisateurs et de la nécessité d'archivage des premiers images, films. Il nous parle un peu de lui mais il parle beaucoup mieux de ces" pères", comme Bertrand Tavernier ou Bernard Chardère, sa présidente (Irène Jacob) mais aussi les rencontres avec des réalisateurs prestigieux.
Ce texte donne envie aussi de visiter ce lieu et découvrir Lyon.
Une lecture qui m'a intéressé mais beaucoup beaucoup moins émue que d'autres textes de cette collection.
#RueduPremierFilm #NetGalleyFrance
L'un de mes grands regrets (j'en ai peu) est de ne jamais avoir rencontré Bertrand Tavernier. Parce que j'aime ses films, bien sûr, mais surtout parce que l'homme, l'être humain, me bouleverse. Si j'admire énormément sa culture cinématographique, je suis surtout subjuguée par sa capacité à transmettre, à communiquer, à enseigner sans jamais faire preuve de pédantisme ou de cuistrerie.
Pour toutes ces raisons, je ne pouvais passer à côté du livre de Thierry Frémeaux parce qu'il nous offre un Tavernier présent, proche. Vivant.
Loin d'une biographie classique, le livre de Thierry Frémeaux entremêle biographie et autobiographie, révélant l'indissociabilité des deux hommes unis par une amitié réelle. Par des anecdotes, des souvenirs, des analyses fines de la personnalité de Bertrand Tavernier, l'auteur parvient à tracer un portrait tout en sensibilité et en finesse du réalisateur. Rien d'impudique dans ces pages irriguées de tendresse et d'admiration, mais un hommage vibrant à un homme qui nous manque désormais.
Thierry Frémeaux nous restitue Bertrand Tavernier tel que nous l'imaginons, tel que ses films nous le révèlent, avec ses enthousiasmes, ses colères, son sens de la justice et son humanité bienveillante. Et, oui, après cette lecture je l'aime davantage.
Un très beau titre pour ce texte hommage de Thierry Fremaux à Bertrand Tavernier. Ce titre est emprunté à Frédéric Dard, qui témoignait, à travers cette phrase, de son désarroi après la disparition de sa fille.
Cinéphile, j'ai beaucoup apprécié le travail au cinéma de Bertrand Tavernier, des souvenirs de rencontres lors de la sortie de ses films et sa gentillesse, culture. Quelquefois et même souvent, nous n'avions pas envie de l'arrêter car il était si passionné, passionnant. Il parlait si bien du cinéma, de sa passion pour le cinéma américain, il a aussi été éditeur de textes de westerns à Acte Sud. j'apprécie l'homme aussi et ses engagements sociaux, politiques.
Thierry Fremaux parle de cette amitié de 40 ans, que ce soit lors de leur première rencontre à Lyon, jusqu'aux derniers jours de Bertrand Tavernier.
Ce texte est un hommage sensible, émouvant, au cinéaste, au passeur d'images, au passeur d'anecdotes. Des souvenirs personnels font écho à des souvenirs que j'ai de ces rencontres cinématographiques, littéraires ou lorsque l'on le croisait dans les rues ou dans les théâtres (souvenirs émouvants de l'avoir croisé lors d'un dimanche après midi au théâtre de l'Atelier, lors de pièces hommages à Duras).
Thierry Frémaux parle très bien du manque de cet homme laisse aprés son départ et de son amitié, il va beaucoup manqué au monde du cinéma et de l'édition.
Ce texte donne envie de revoir ses films, les documentaires qu'il avait fait, ou les films dont il parlait si bien, que ce soient des chefs d'œuvre ou des séries B, relire ses dictionnaires et les textes édités par sa collection à Actes Sud.
#Sinousavionssuquenouslaimionstantnouslaurionsaimédavantage #NetGalleyFrance
Il y a des rencontres qui changent une vie….Thierry Frémaux, aura la sienne « chamboulée » par Bertrand Tavernier.
Un parcours amical qui influencera une carrière, des choix de vie.
On se plonge avec délice dans la narration des anecdotes autour de ce grand cinéaste, qui a tellement compté pour le cinéma français.
Un passionné, un puits de science cinématographique.
On aimerait tous connaitre une telle amitié. Un très bel hommage qui vous donnera envie de voir ou revoir de nombreux chefs d’œuvre, qu’ils soient de Bertrand Tavernier ou d’autres grands réalisateurs.
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