"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Aura, la femme de l’auteur, à peine trente ans, meurt lors d’une séance de surf.
Inconsolable, fou d’amour et de chagrin, il continue à la faire vivre à travers ces pages.
C’est émouvant, c’est triste, c’est beau (malgré quelques longueurs)
Retours sur la famille d’Aura et sur la sienne.
Souvenirs des merveilleux moments de leur courte vie commune, entre le Mexique et les Etats-Unis.
Il retrace l’enfance et la jeunesse d’Aura.
Petit bémol : n’est-il pas un peu impudique vis-à-vis d’elle (même à titre posthume) de retranscrire ses journaux intimes ?
Il semble difficile que Francisco Goldman réussisse à surmonter ce deuil.
« Dire son nom » pour qu’elle continue à vivre.
« Dire son nom » pour continuer à lui dire son amour.
« Dire son nom » encore et encore.
"Chaque jour est une ruine, la ruine du jour qu'il aurait dû être".
Fransisco Goldman nous parle de sa jeune épouse trop tôt disparue, décédée dans un accident sur une plage du Mexique. Le récit est émouvant, poignant. Il parle d'Aura avec délicatesse, regret et toujours avec amour. Il nous parle de son enfance, de leur rencontre, leur mariage, de leurs projets, de sa vie à lui après son décès. On pleure avec lui et on regrette de ne pas avoir connu Aura Estrada.
Je le conseille vivement, c'est un livre magnifique.
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