Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Florence Plissart

Florence Plissart

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Avis sur cet auteur (1)

  • add_box
    Couverture du livre « Japonaises : celles qui éclairent le ciel » de Florence Plissart aux éditions Partis Pour Editions

    voyages au fil des pages sur Japonaises : celles qui éclairent le ciel de Florence Plissart

    Installée pendant 18 mois au Japon avec son compagnon à partir de janvier 2017, Florence Plissart, carnettiste et voyageuse, avait la ferme intention de ne pas s’isoler dans un cercle d’expatriés, et d’aller à la découverte du Japon et de ses habitants.
    Mais comment partir à la rencontre de...
    Voir plus

    Installée pendant 18 mois au Japon avec son compagnon à partir de janvier 2017, Florence Plissart, carnettiste et voyageuse, avait la ferme intention de ne pas s’isoler dans un cercle d’expatriés, et d’aller à la découverte du Japon et de ses habitants.
    Mais comment partir à la rencontre de l’autre quand on est soi-même « une personne introvertie, timide et parfois gauche », qui plus est dans un pays dont on ne connaît rien, ni la langue, ni la culture, ni les codes sociaux ?
    Pour surmonter ces difficultés, Florence Plissart a pris ses crayons, ses pinceaux et son carnet de croquis. Son idée était de réaliser des portraits de femmes japonaises et de les amener à parler d’elles pendant la séance de pose.
    C’est via l’Alliance Française de Sapporo qu’elle a réussi à trouver ses premiers modèles, des Japonaises francophones enthousiasmées par le projet. Puis le bouche-à-oreille a fonctionné, et au final, elle a pu rencontrer une quarantaine de femmes, âgées de 16 à 92 ans, parlant plus ou moins (voire pas du tout) français ou anglais, dans trois régions du Japon : Hokkaido, Tokyo, et l’île d’Amami.
    Cet ouvrage réunit ainsi 40 portraits de femmes, accompagnés de textes plus ou moins longs (en fonction de l’obstacle de la langue), dans lesquels elles confient un peu de leur histoire, de leurs rêves, de leurs petits ou grands drames, de « leur » Japon, aussi, de la place des femmes dans ce pays, entre traditions et modernité.
    40 portraits, plus un, celui de Florence Plissart, qu’on découvre en creux au fil de toutes ces rencontres, puisque la jeune femme nous livre aussi un peu d’elle-même à travers ses impressions, ses craintes quant à l’aboutissement du projet, son questionnement profond sur la vie en général. C’est avec une sincérité et une simplicité qui m’ont beaucoup touchée, et une très belle écriture, qu’elle explique sa démarche, son cheminement personnel et celui du projet, et surtout ce besoin renouvelé, vital, d’aller vers l’autre, « l’autre, sans qui je meurs », et de tisser des liens authentiques.
    Tout en pudeur et en ouverture à l’autre, des portraits qui attirent le regard et des mots qui touchent l’âme, un beau livre émouvant doublé d’un bel objet.
    « Toute vie a ses grands voyages, et le plus beau est sans doute celui que nous accomplissons vers nous-mêmes ».

    http://florenceplissart.com
    #LisezVousLeBelge

Ils ont lu cet auteur

Thèmes en lien avec Florence Plissart

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !