Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Donald E. Westlake

Donald E. Westlake

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Avis sur cet auteur (7)

  • add_box
    Couverture du livre « Le couperet » de Donald E. Westlake aux éditions Flammarion

    Kateginger63 sur Le couperet de Donald E. Westlake

    Un chômeur tueur malgré lui
    *
    Louons déjà la chance que ce roman soit classé dans la section des "classiques" de Flammarion. Un bon point !
    L'auteur est un des chefs de file du genre littéraire né dans les années 30 aux USA, le roman noir. Lié au contexte social de l'époque, celui de la...
    Voir plus

    Un chômeur tueur malgré lui
    *
    Louons déjà la chance que ce roman soit classé dans la section des "classiques" de Flammarion. Un bon point !
    L'auteur est un des chefs de file du genre littéraire né dans les années 30 aux USA, le roman noir. Lié au contexte social de l'époque, celui de la violence urbaine.
    Ici, le récit est fortement ancré dans le réel. Un roman engagé de par sa prise de position politique et économique. Un regard lucide et pessimiste sur le monde du travail entraperçu à travers notre héros, Burke, devenu chômeur suite au dégraissage massif de son entreprise.
    Avec une féroce et brillante analyse, Burke considère les conséquences du chômage comme une fatalité qu'il va devoir renverser par des actes immoraux : renverser ses potentiels concurrents. Comment? Les tuer pardi !
    *
    Burke devient un monstre sanguinaire. Dr Jekyll devient Mr Hyde. Une véritable métamorphose passe sous nos yeux ébahis. Au fur et à mesure de ses crimes de plus en plus violents, il éprouvera de moins en moins de remords. Presque comme si sa propre folie était un dédoublement de personnalité. (avec quelques rares moments de lucidité où il se rend bien compte de l'absurdité de la situation). Mais en tant que chef de famille, il est OBLIGE de récupérer ce poste de cadre.
    *
    A travers son personnage, l'auteur veut dénoncer la société actuelle (les années 90 ici) qui repose sur un nouveau "code moral", selon lequel la fin justifie les moyens".
    *
    Jubilatoire dans l'intrigue (voir comment Burke procède), immoral au possible (notre héros finira par gagner puisqu'il aura le poste tant convoité).
    J'ai attendu longtemps que le couperet tombe sur ce meurtrier. Je vous avoue d'une petite voix que j'ai été tenté par éprouver de l'empathie pour lui mais finalement ces scènes de sauvagerie ont eu raison de mon dégout. Ouf! Mais il m'a invité à m'interroger sur cette société brutale qui écrase tout sur son passage. Les plus forts gagnent...
    IL est clair que le lecteur se doit de réagir, c'est trop amoral!
    *
    Au ton corrosif et cynique mais également hypnotique, je me suis laissée prendre dans les filets du "politiquement incorrect". Laissez-vous embarquer dans ce thriller original

  • add_box
    Couverture du livre « Encore raté ! trois aventures de John Dortmunder » de Donald E. Westlake aux éditions Rivages

    Michel Giraud sur Encore raté ! trois aventures de John Dortmunder de Donald E. Westlake

    Ce recueil contient trois romans de Donald Westlake.

    Le premier est "Pierre qui roule" : John Dortmunder sort de prison. Lui est sa bande sont contactés par le Major Iko, représentant à l'ONU du Talabwo, un jeune pays africain. Objectif : voler une grosse émeraude, appartenant historiquement...
    Voir plus

    Ce recueil contient trois romans de Donald Westlake.

    Le premier est "Pierre qui roule" : John Dortmunder sort de prison. Lui est sa bande sont contactés par le Major Iko, représentant à l'ONU du Talabwo, un jeune pays africain. Objectif : voler une grosse émeraude, appartenant historiquement à une tribu du Talabwo, mais détenue actuellement par un pays rival, l'Akinsi, et exposée au Coliseum de New York. Dortmunder et ses équipiers acceptent. Ce n'est pas un, mais cinq casses qu'il leur faudra organiser pour entrer en possession de la pierre précieuse ! Car tout va de mal en pis...
    Sans surprise avec cette série Dortmunder de Westlake, un polar déjanté, où l'on va de surprise en surprise avec une bande de pieds-nickelés pleine d'imagination, de supposés talents et de bonne volonté, mais d'une maladresse...
    Un bon moment de lecture-détente.

    Le second est "Personne n'est parfait" : Un célèbre avocat tire John Dortmunder d'un mauvais pas en lui évitant la prison. Mais il y a un prix à payer : aider Arnold Chauncey, un dandy ruiné, à escroquer son assurance en simulant le vol d'un tableau de grande valeur. Le début des ennuis pour Dortmunder et sa bande... Des ennuis qui les conduiront jusqu'en Ecosse plusieurs mois plus tard.
    Sans surprise avec cette série Dortmunder de Westlake, un polar déjanté, où l'on va de surprise en surprise avec une bande de pieds-nickelés pleine d'imagination, de supposés talents et de bonne volonté, mais d'une maladresse...
    Un bon moment de lecture-détente, peut-être un peu moins surprenant que "Pierre qui roule", le premier roman de cet opus.

  • add_box
    Couverture du livre « Comment voler une banque » de Donald E. Westlake aux éditions Rivages

    Paojito sur Comment voler une banque de Donald E. Westlake

    C'est exactement ce dont j'avais besoin. Un livre qui se lit en un aller-retour de train, pas trop complexe pour éviter de se faire distraire par les conversations du wagon et assez intense pour ne pas avoir envie de se lever pendant le trajet. On suit Dortmunder et sa clique de professionnels...
    Voir plus

    C'est exactement ce dont j'avais besoin. Un livre qui se lit en un aller-retour de train, pas trop complexe pour éviter de se faire distraire par les conversations du wagon et assez intense pour ne pas avoir envie de se lever pendant le trajet. On suit Dortmunder et sa clique de professionnels malchanceux, prêts à faire un nouveau coup. Il ne s'agit pas de voler la banque, mais de voler UNE banque.
    C'est rapide, efficace, simple et burlesque à la fois.
    RDV au prochain trajet en train Westlake.

  • add_box
    Couverture du livre « Comment voler une banque » de Donald E. Westlake aux éditions Rivages

    Loïc de La Rivière sur Comment voler une banque de Donald E. Westlake

    Sans doute le meilleurs de la série "Dortmunder". Comme toujours, le génie de Dortmunder et ses loufoques compagnons vous ferons passer un joyeux moment. Des années après, je ris encore du final.

    Sans doute le meilleurs de la série "Dortmunder". Comme toujours, le génie de Dortmunder et ses loufoques compagnons vous ferons passer un joyeux moment. Des années après, je ris encore du final.