Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
En Somalie, Dekalb, ancien inspecteur des Nations Unies, est fait prisonnier par un groupe d’enfants soldats qui acceptent de lui laisser la vie sauve s’il parvient à leur fournir un médicament pour soigner leur chef Mama Haléma atteinte du sida. Il devra leur laisser en otage sa petite fille Sarah. On lui promet qu’elle sera bien traitée car c’est une « sœur de couleur ». Dekalb a beau faire fouiller tous les hôpitaux d’Afrique, tous les camps de réfugiés de l’ONU, il ne trouve rien. Il faut dire que suite à un cataclysme mondial de grande ampleur, tous les pays les plus développés ont été ravagés puis envahis par des hordes de zombies cannibales et que seule quelques très rares enclaves épargnées par le phénomène subsistent. Dernière chance pour Dekalb : aller à New-York chercher le fameux médicament au siège des Nations Unies. Quand enfin ils y parviennent sur l’antique remorqueur d'Osman, impossible d’aborder tellement le fleuve est rempli de centaines de milliers de cadavres de zombies tous achevés d’un coup de pic dans le front et flottant à la dérive…
« Zombie story » est un roman d’horreur et d’épouvante dans la lignée de « Word war zombie » (WWZ) et « Walking dead », mais quelques crans au-dessous surtout au niveau des intrigues. Cette intégrale regroupe trois romans « Zombie island », « Zombie Nation » et « Zombie planet ». Le premier et le dernier tome bénéficient d’une véritable intrigue avec des personnages servant de fil rouge comme Dekalb et Ayaan dans le N°1 ou Sarah et Ayaan dans le N°3. Idem pour la progression en chapitres assez courts et relativement bien construits. Ce n’est pas le cas du N°2 qui semble beaucoup plus brouillon avec un tas de personnages secondaires et d’anecdotes accumulées sans fil directeur ni véritable progression, rendant la lecture nettement plus laborieuse. Le lecteur est vite lassé de cette histoire qui se résume à une accumulation de cadavres, à tout un grand guignol sanguinolent qui vire à l’invraisemblable quand il faut tuer plusieurs fois un personnage lequel survit à une balle dans la tête, puis à un coup de sabre, à la noyade et enfin à une crémation en bonne et due forme. Cet ouvrage laisse une impression détestable, celle d’une sorte de fascination macabre de l’auteur pour tout ce qui touche à la mort, à l’enfer, à la damnation. Goules, liches, sorciers et autres loups-garous sont également de ce sabbat littéraire. Si on y ajoute un style très moyen, lourd et répétitif, on obtient le complet combo de la médiocrité. Conclusion : ouvrage à fortement déconseiller aux rationalistes et aux âmes sensibles !
chronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2014/10/chronique-zombie-island-tome-1-david.html
Et bien, j'ai tout simplement abandonné la lecture de ce livre !
Le rythme du livre est très lent, l'auteur nous fait part de descriptions que je juge un peu inutiles.
Je me suis ennuyée tout au long des environ 180 pages que j'ai pu lire de ce bouquin...
Les personnages manquent de charisme, de personnalité, de caractère, bref, on ne saurait pas dire qu'il s'agit de personnages différents s'ils n'étaient pas mentionnés par leur prénom. Je n'ai pas réussi à m'attacher à au moins un seul des personnages malgré l'atmosphère apocalyptique et la détresse à laquelle ils sont confrontés. Je n'ai même pas eu envie de savoir ce qui allait se passer après, d'autant qu'on a l'impression que justement il ne va rien se passer à cause du rythme...
L'idée était pourtant bonne, dans la même lignée que War World Z mais l'auteur n'a pas, à mon sens, exploité de la meilleure manière le sujet.
En bref, une grosse déception, et je ne sais pas si je reprendrai, un jour, cette lecture et si je poursuivrai cette trilogie...
Sujet particulier mais bien traité. Par contre très long car réunion de trois tomes publiés à des périodes différentes. Original dans les idées (certaines reprises par des séries télévisées...) mais presque trop volumineux. A réserver aux plus jeunes amateurs du genre.
Dans ce dernier et troisième tome de Zombie Story, nous retrouvons les personnages du premier opus, douze ans après. Sarah a grandi et accompagne Ayaan dans des missions dangereuses pour la sauvegarde des survivants en Afrique.
Mais un événement vient bouleverser les habitudes. Un russe, le tsarévitch, une liche puissante aux pouvoirs impressionnants, tente de dominer le monde dans le but d'en recréer un meilleur.
Le niveau, comme dans le deuxième épisode, est en chute libre. Bien que nous soyons dans un registre fantastique, l'histoire paraît être tirée par les cheveux, mais vous me direz -on s'en fout, on est mort.
L'univers est chaotique et complètement incohérent. Les vivants côtoient des morts et sont heureux de le faire. Les morts ne tentent plus de manger les vivants, et le russe boit le sang par petites gorgées à une vivante. C'est quoi ce mélange. En tout cas, il ne prend pas. C'est ennuyeux. L'auteur veut nous proposer de l'horreur, de l'action, des sentiments, mais la mise en place du scénario qui à la base est un peu brinquebalant, est difficile. On souffle tout le long comme si ce roman faisait partie des derniers kilomètres d'un marathon non préparé.
Heureusement que l'écriture est fluide et permet de rapidement passer sur des longs, longs, longs passages sans queue ni tête.
Cette trilogie avait plutôt bien débuté, l'idée étant assez intéressante, mais si elle n'est pas innovante, mais l'auteur a poussé le vice trop loin. Deux cent pages auraient largement suffi, on en a mille deux cent en tout. Quel calvaire !
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