Voilà un petit livre déjà ancien mais qui mérite de revenir sur le devant de la scène à mon avis. Si on oublie l'improbabilité des faits, reste une histoire très noire dans un Paris et avec des personnages qui le sont tout autant même si on s'attache à eux, Théa et Marigold particulièrement.
L'épilogue est un peu fastidieux et n’apporte rien au reste du récit que l'auteure, Andrea H. Japp, aurait pu conclure à la fin de son chapitre "Jour12" mais l'ensemble est d'excellente facture servit par une parfaire écriture.
L'église au pouvoir a montré ses capacités à gérer l'humain. Le pape Jean Paul 2 s'est excusé vers l'an 2000 de ces atrocités. Cette série de 4 doit amener la réflexion que rien n'est acquis.
On suit l'évolution de cet enjeu entre le savoir et l'ignorance. Celui qui détient le savoir détient la puissance.
Agnès de Souarey est victime de l'inquisition. Tout ce qui s'oppose à l'église mérite le bûcher. Quelques âmes s'opposent à toutes ces dérives.
Pas de pissenlits pour le cadavre
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In anima vili
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