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Maxime Chattam

Maxime Chattam

Maxime Chattam, de son vrai nom Maxime Drouot, est un romancier français né en 1976 dans le Val-d’Oise. Influencé par de nombreux voyages aux Etats-Unis et par son attrait pour la culture américaine, l’auteur s’inspire tout d’abord de Stephen King pour ses premiers écrits. Les romans suivants, eu...

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Maxime Chattam, de son vrai nom Maxime Drouot, est un romancier français né en 1976 dans le Val-d’Oise. Influencé par de nombreux voyages aux Etats-Unis et par son attrait pour la culture américaine, l’auteur s’inspire tout d’abord de Stephen King pour ses premiers écrits. Les romans suivants, eux aussi, sont imprégnés par le monde anglo-saxon. Spécialiste du thriller et du roman policier, Maxime Chattam a suivi une formation en criminologie qui lui a permis d’aborder la psychologie criminelle et d’avoir une première approche de la médecine légale.

L’auteur est notamment célèbre pour sa Trilogie du Mal qui regroupe L’Âme du mal, In Tenebris et Maléfices. L’intrigue de cette trilogie policière se déroule aux Etats-Unis et fait l’objet d’un préquel, La Promesse des Ténèbres. En 2003, Maxime Chattam reçoit le prix du roman fantastique au festival de Gérardmer pour son œuvre Le Cinquième Règne. D’autres romans, indépendants ou en série, viennent compléter l’œuvre de l’auteur.

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Avis sur cet auteur (601)

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    Couverture du livre « Lux » de Maxime Chattam aux éditions Albin Michel

    Christelle Point sur Lux de Maxime Chattam

    Dans un futur proche, le dérèglement climatique a fait son œuvre. Des tempêtes gigantesques ravagent la Terre à intervalles réguliers, la démographie s’est effondrée, l’espoir en un monde meilleur est mort, particulièrement pour les jeunes générations dont fait partie Romy. Pourtant son destin...
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    Dans un futur proche, le dérèglement climatique a fait son œuvre. Des tempêtes gigantesques ravagent la Terre à intervalles réguliers, la démographie s’est effondrée, l’espoir en un monde meilleur est mort, particulièrement pour les jeunes générations dont fait partie Romy. Pourtant son destin et celui de sa mère Zoé sont sur le point de basculer : la Présidente de la République va prendre la parole, en même temps que les autres dirigeants du monde. Quelque chose vient de se produire, au milieu de l’Océan Atlantique…
    « Lux » est un roman très étrange dans toute l’œuvre de Chattam. On le savait pointu en thriller horrifiques, jamais avare de détails abominables et de tueurs sans pitié. On sait qu’il a aussi tâté de la « Fantasy » mais « Lux » n’a pas grand-chose à voir avec ses romans précédents. Bien-sur, le roman est écrit comme un thriller efficace, les chapitres sont bien calibrés, la petite note de suspens à la fin fait son œuvre. Les personnages sont attachants, il y a quelques fausses pistes, une révélation finale sous forme de trahison (aux motivations très contestables !), des petites histoires d’amour naissantes en filigrane. Le roman brasse des thèmes modernes (les catastrophes climatiques sont irréversibles, Romy est transgenre, elle fait de l’Urbex), l’écriture est efficace, très accessible, bref : on se croirait dans un vrai blockbuster. C’est plutôt sur le fond que « Lux » se démarque. Ce roman n’est pas un thriller, c’est à la fois un roman d’espionnage, un conte philosophique (et même un même métaphysique par moment), une épopée scientifique, et une (science -) fiction politique. C’est peu dire que Chattam n’avait jamais nagé dans ces eaux là. Le résultat est, à mon sens mitigé. L’évènement qui se produit au milieu de l’Océan (et dont évidemment je ne dirais rien) garde son lot de mystère, sauf si on décide de lire la post face. Car on peut s’arrêter à l’épilogue sans aller au-delà, et je me demande si ce n’est pas mieux d’ailleurs : garder une part de mystère et de même de poésie sans cette postface assez peu crédible et qui « casse » un peu l’intrigue. L’aspect espionnage et géopolitique est plutôt bien vu, même si une fois (de plus) les vilains russes sont vraiment très vilains (et fourbes aussi.).Le côté conte philosophique est moins, beaucoup moins efficace et m’a un peu fait soupirer d’ennui par moment. Quant au côté scientifique, il faut quand même s’accrocher. Certains passages où il est question d’acoustique, de fréquences et d’ondes magnétiques sont ardus. Même si Chattam, je n’en doute pas, à fait un gros effort de simplification et de pédagogie, cela reste des notions complexes pour le lecteur lambda. On peut trouver que certains personnages sont dessinés à grands traits, comme les deux américains (Belle et sa casquette MAGA est imbuvable, et Ronnie sont contradicteur n’est pas tellement plus sympathique), mais sur ce point je serais moins dubitative : certains américains ne sont-ils pas en train de devenir la caricature d’eux même ? On arrive au bout du roman sans problème, mais quand on le referme, on se dit qu’on n’a pas été convaincu à 100%, et encore plus si lit la postface, ce qui est évidemment très tentant. Il vaut mieux, je crois, accepter la possibilité d’un roman frustrant que de lire le chapitre de trop. Cet avenir, que Chattam décrit, ne fait évidemment nullement envie et c’est pour lui l’occasion de mettre sa petite pierre « dystopique » à la grande angoisse moderne de la « 6ème extinction ». Le moins que l’on puisse dire est que l’on ne sort pas de « Lux » avec l’optimisme chevillé au corps !

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    Couverture du livre « La constance du prédateur » de Maxime Chattam aux éditions Albin Michel

    nathalie vanhauwaert sur La constance du prédateur de Maxime Chattam

    Un thriller sur la transmission familiale du mal.

    Ils l'ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d'oiseau. Il n'a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu'il a laissées...
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    Un thriller sur la transmission familiale du mal.

    Ils l'ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d'oiseau. Il n'a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu'il a laissées derrière lui. Jusqu'à ce que ses crimes resurgissent du passé, dans les profondeurs d'une mine abandonnée...
    Plongez avec Ludivine Vancker dans le département des sciences du comportement, les profilers, jusque dans l'âme d'un monstre.

    https://nathavh49.blogspot.com/2024/03/la-constance-du-predateur-maxime-chattam.html

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    Couverture du livre « Lux » de Maxime Chattam aux éditions Albin Michel

    Frederique Villé sur Lux de Maxime Chattam

    Cela fait 2 livres que je suis déçue de maxime chattam, pourtant Lux partait bien, je me disais ahhhh enfin du Chattam il revient à ses premiers amours, un sujet sur le changement climatique qui me plaisait bien et vers la fin du roman, plat cela devenait long, donc encore une fois dé9ue...

    Cela fait 2 livres que je suis déçue de maxime chattam, pourtant Lux partait bien, je me disais ahhhh enfin du Chattam il revient à ses premiers amours, un sujet sur le changement climatique qui me plaisait bien et vers la fin du roman, plat cela devenait long, donc encore une fois dé9ue...

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    Couverture du livre « La conjuration primitive » de Maxime Chattam aux éditions Pocket

    Musemania sur La conjuration primitive de Maxime Chattam

    Après l’échec cuisant de ma dernière entrevue avec Maxime Chattam et son dernier opus « Lux » (voir ma chronique sur mon blog), je n’avais pas envie de rester sur une mauvaise note.

    A l’occasion de sa dernière parution au format « poche » avec le tome IV (sur IV) des aventures de Ludivine...
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    Après l’échec cuisant de ma dernière entrevue avec Maxime Chattam et son dernier opus « Lux » (voir ma chronique sur mon blog), je n’avais pas envie de rester sur une mauvaise note.

    A l’occasion de sa dernière parution au format « poche » avec le tome IV (sur IV) des aventures de Ludivine Vancker, « La constance du prédateur », j’ai eu la chance de partager un moment privilégié en la compagnie de l’auteur et de trois amis blogueurs et instagrammeurs : Nathalie du compte Instagram et du blog @Mes lectures du dimanche (même alias sur Instagram), Frédéric Ernotte de @La Boîte et aussi auteur, Pascale du compte Instagram @Entre deux pages ainsi que Thibault du compte Instagram et blog @Le Belge qui lit. Toute cela avait été orchestré par le trio magique de l’Iris Noir et grâce aux Editions Pocket.

    Je me suis, dès lors, dit que c’était l’occasion de lire cette quadriplégie dans l’ordre et donc, de débuter par le commencement avec « La Conjuration primitive ».

    Là, j’ai pu y retrouver la plume bien noire et acérée de Maxime Chattam, comme je l’aime tant. Je l’ai dévorée littéralement (le livre bien sûr, pas l’auteur hein !) les pages montant crescendo…

    De nombreuses surprises et rebondissement égrènent l’enquête policière, au point que le lecteur a l’impression de la ” vivre ” lui aussi. Chaque détail a été pensé et réfléchi ; rien n’est laissé au hasard et ça, j’apprécie beaucoup !

    Bien entendu, Maxime Chattam aime se jouer de ses lecteurs et ce livre en est l’exemple criant. Page-turner incontournable de la bibliographie de l’auteur, je l’ai adoré de bout en bout…

    Tellement heureuse de retrouver à nouveau les éléments que j’aime chez cet auteur, je ne peux que vous le conseiller très vivement.