Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous
gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la
communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !
Sa mâchoire SE CRISPA quand elle comprit qu’elles avaient encore RAISON. Elle sentait qu’elle allait se mettre dans cette condition SPÉCiALE qui faisait dire à sa famille qu’elle était capable de passer d’un ange à un démon en une fraction de seconde . Elle avait toujours trouvé difficile d’affronter ses « SŒURS » . Elle s’assit dans le FAUTEUIL , les regardant tour à tour . C’était plus fort qu’elle , elle allait encore jouer à « LA COLONELLE » . Et quand elle se plaindrait , la famille rétorquerait que c’était sa
faute , qu’elle ne savait que les TROUVER
Il tourna cette question des milliers de fois dans sa tête, par lequel de ces états d'âme était gouvernée cette attirance SPECIALE : "Raison ou sentiments" ? A chaque fois qu'il la voyait, son corps tout entier SE CRISPAIT et tous ses sens se mettaient en éveil. Etait-elle réelle ?
Cette cité lui semblait si hostile !
Enfoncé dans un FAUTEUIL confortable, une pensée curieuse lui vint à l'esprit.
Comment la sauver et s'enfuir avec elle ?
L'organisation de cette société était si bien orchestrée que l'on pouvait se demander si elle était simultanément régie par ces deux espèces : "des souris et des hommes" ?
Si nombreux et pourtant si solidaires, il devait mettre une stratégie en place, seules les idées restaient à TROUVER !
Titres : Le liseur Bernhard Schlink – Le consentement Vanessa Springora
Comme chaque jour l’homme partait à l’aube, son livre sous le bras, en direction de la gare où il prenait un train de banlieue afin de se rendre sur son lieu de travail. Et comme chaque jour il occupait invariablement le même fauteuil. C’était devenu un rituel immuable au fil du temps. Il arrivait, il prenait place et entamait la lecture d’un nouveau chapitre de son livre. À partir de cet instant rien ni personne ne pouvait lui faire lever le nez de son ouvrage. Il était hermétique à tout et à tous. Ce jour-là, à peine avait-il pénétré dans le train que le liseur se crispa. A sa place était confortablement installée une jeune femme. Il la détailla en un clin d’œil. C’était une jeune femme ordinaire, sans rien de spécial si ce n’est qu’elle occupait impunément une place qui n’était pas la sienne. Il sentit une colère froide sourdre en lui. Elle allait voir de quoi il était capable. Alors qu’il s’approchait de la jeune femme, prêt à en découdre, celle-ci leva sur lui un regard si empli de bonté qu’il perdit instantanément toute velléité de combat. D’autant plus que la jeune femme tenait dans ses mains un roman d’un de ses auteurs préférés. Sans qu’il puisse en comprendre la raison son cœur se mit à battre la chamade. Soudain son corps, en proie à mille émois, se déroba sous lui au point qu’il se retrouva assis en face de la belle sans pouvoir prononcer le moindre mot. Tout à coup, mus par un consentement tacite, chacun sortit de son mutisme pour engager la conversation sur leur sujet favori : la littérature. Ils ne le savaient pas encore mais l’un et l’autre venaient de trouver son âme sœur et s’apprêtaient à écrire la plus belle page de leur histoire.
]
Faire une nouvelle accroche. Faire une phrase avec ces 5 mots pris au hasard:
Se crispa. Raison. Spéciale. Trouver. Fauteuil.
Une petite difficulté supplémentaire :
Rajouter où vous voulez dans votre texte deux titres de livres que vous avez aimé ou pas.
Votre texte si vous le voulez ne devra pas faire plus de 15 lignes.
Et il devra se terminer par le mot trouver.[/quote
À l’autre bout du monde
Confortablement installé dans son fauteuil « Le vieux qui lisait des romans d’amour » et les relisait à certains moments de l’année interrompit sa lecture sans raison précise. Son instinct le poussait à continuer mais il sentait qu’il y avait une « Anomalie » qu’il ne fallait pas négliger. Derechef son estomac se crispa mais il pensa comme toujours « plus tard! ».
On était arrivé à la saison des pluies, une saison redoutable, une saison spéciale durant laquelle tout peut arriver en bien comme en mal. Pour lui c’était, jusque-là, la belle saison, celle où l’on reste cloîtré dans sa bicoque près du fleuve à lire et à méditer pourvu qu’on soit en bonne santé sinon appeler au secours, par radio, pour dire qu’on a un crabe qui vous bouffe l’estomac, jamais ils ne comprendraient !
Autant reprendre sa lecture et repartir se balader en gondole dans les canaux de cette ville extraordinaire qui flotte sur l’eau et qu’on ne peut trouver qu’en rêve !
Confortablement installé dans son fauteuil « Le vieux qui lisait des romans d’amour » et les relisait à certains moments de l’année interrompit sa lecture sans raison précise. Son instinct le poussait à continuer mais il sentait qu’il y avait une « Anomalie » qu’il ne fallait pas négliger. Derechef son estomac se crispa mais il pensa comme toujours « plus tard! ».
On était arrivé à la saison des pluies, une saison redoutable, une saison spéciale durant laquelle tout peut arriver en bien comme en mal. Pour lui c’était, jusque-là, la belle saison, celle où l’on reste cloîtré dans sa bicoque près du fleuve à lire et à méditer pourvu qu’on soit en bonne santé sinon appeler au secours, par radio, pour dire qu’on a un crabe qui vous bouffe l’estomac, jamais ils ne comprendraient !
Autant reprendre sa lecture et repartir se balader en gondole dans les canaux de cette ville extraordinaire qui flotte sur l’eau et qu’on ne peut trouver qu’en rêve !
Titres : Le liseur Bernhard Schlink – Le consentement Vanessa Springora
Comme chaque jour l’homme partait à l’aube, son livre sous le bras, en direction de la gare où il prenait un train de banlieue afin de se rendre sur son lieu de travail. Et comme chaque jour il
occupait invariablement le même fauteuil. C’était devenu un rituel immuable au fil du temps. Il arrivait, il prenait place et entamait la lecture d’un nouveau chapitre de son livre. À partir de cet instant rien ni personne ne pouvait lui faire lever le nez de son ouvrage. Il était hermétique à tout et à tous. Ce jour-là, à peine avait-il pénétré dans le train que le liseur se crispa. A sa place était confortablement installée une jeune femme. Il la détailla en un clin d’œil. C’était une jeune femme ordinaire, sans rien de spécial si ce n’est qu’elle occupait impunément une place qui n’était pas la sienne. Il sentit une colère froide sourdre en lui. Elle allait voir de quoi il était capable. Alors qu’il s’approchait de la jeune femme, prêt à en découdre, celle-ci leva sur lui un regard si empli de bonté qu’il perdit instantanément toute velléité de combat. D’autant plus que la jeune femme tenait dans ses mains un roman d’un de ses auteurs préférés. Sans qu’il puisse en comprendre la raison son cœur se mit à battre la chamade. Soudain son corps, en proie à mille émois, se déroba sous lui au point qu’il se retrouva assis en face de la belle sans pouvoir prononcer le moindre mot. Tout à coup, mus par un consentement tacite, chacun sortit de son mutisme pour engager la conversation sur leur sujet favori : la littérature. Ils ne le savaient pas encore mais l’un et l’autre venaient de trouver son âme sœur et s’apprêtaient à écrire la plus belle page de leur histoire.
Messages : 2082
Le 27/04/2021 à 13h09
Merci !
Messages : 2082
Le 27/04/2021 à 13h10
faute , qu’elle ne savait que les TROUVER
Bravo !
Messages : 656
Le 29/04/2021 à 09h06
Messages : 1
Le 29/04/2021 à 14h12
Cette cité lui semblait si hostile !
Enfoncé dans un FAUTEUIL confortable, une pensée curieuse lui vint à l'esprit.
Comment la sauver et s'enfuir avec elle ?
L'organisation de cette société était si bien orchestrée que l'on pouvait se demander si elle était simultanément régie par ces deux espèces : "des souris et des hommes" ?
Si nombreux et pourtant si solidaires, il devait mettre une stratégie en place, seules les idées restaient à TROUVER !
Messages : 22
Le 29/04/2021 à 14h18
Titres : Le liseur Bernhard Schlink – Le consentement Vanessa Springora
Comme chaque jour l’homme partait à l’aube, son livre sous le bras, en direction de la gare où il prenait un train de banlieue afin de se rendre sur son lieu de travail. Et comme chaque jour il occupait invariablement le même fauteuil. C’était devenu un rituel immuable au fil du temps. Il arrivait, il prenait place et entamait la lecture d’un nouveau chapitre de son livre. À partir de cet instant rien ni personne ne pouvait lui faire lever le nez de son ouvrage. Il était hermétique à tout et à tous. Ce jour-là, à peine avait-il pénétré dans le train que le liseur se crispa. A sa place était confortablement installée une jeune femme. Il la détailla en un clin d’œil. C’était une jeune femme ordinaire, sans rien de spécial si ce n’est qu’elle occupait impunément une place qui n’était pas la sienne. Il sentit une colère froide sourdre en lui. Elle allait voir de quoi il était capable. Alors qu’il s’approchait de la jeune femme, prêt à en découdre, celle-ci leva sur lui un regard si empli de bonté qu’il perdit instantanément toute velléité de combat. D’autant plus que la jeune femme tenait dans ses mains un roman d’un de ses auteurs préférés. Sans qu’il puisse en comprendre la raison son cœur se mit à battre la chamade. Soudain son corps, en proie à mille émois, se déroba sous lui au point qu’il se retrouva assis en face de la belle sans pouvoir prononcer le moindre mot. Tout à coup, mus par un consentement tacite, chacun sortit de son mutisme pour engager la conversation sur leur sujet favori : la littérature. Ils ne le savaient pas encore mais l’un et l’autre venaient de trouver son âme sœur et s’apprêtaient à écrire la plus belle page de leur histoire.
]
Messages : 291
Le 01/05/2021 à 10h31
Se crispa. Raison. Spéciale. Trouver. Fauteuil.
Une petite difficulté supplémentaire :
Rajouter où vous voulez dans votre texte deux titres de livres que vous avez aimé ou pas.
Votre texte si vous le voulez ne devra pas faire plus de 15 lignes.
Et il devra se terminer par le mot trouver.[/quote
À l’autre bout du monde
Confortablement installé dans son fauteuil « Le vieux qui lisait des romans d’amour » et les relisait à certains moments de l’année interrompit sa lecture sans raison précise. Son instinct le poussait à continuer mais il sentait qu’il y avait une « Anomalie » qu’il ne fallait pas négliger. Derechef son estomac se crispa mais il pensa comme toujours « plus tard! ».
On était arrivé à la saison des pluies, une saison redoutable, une saison spéciale durant laquelle tout peut arriver en bien comme en mal. Pour lui c’était, jusque-là, la belle saison, celle où l’on reste cloîtré dans sa bicoque près du fleuve à lire et à méditer pourvu qu’on soit en bonne santé sinon appeler au secours, par radio, pour dire qu’on a un crabe qui vous bouffe l’estomac, jamais ils ne comprendraient !
Autant reprendre sa lecture et repartir se balader en gondole dans les canaux de cette ville extraordinaire qui flotte sur l’eau et qu’on ne peut trouver qu’en rêve !
Messages : 2082
Le 02/05/2021 à 12h58
Messages : 2082
Le 02/05/2021 à 13h02
Bon dimanche à vous tous et toutes et bonnes lectures !
Messages : 291
Le 05/05/2021 à 15h18
Confortablement installé dans son fauteuil « Le vieux qui lisait des romans d’amour » et les relisait à certains moments de l’année interrompit sa lecture sans raison précise. Son instinct le poussait à continuer mais il sentait qu’il y avait une « Anomalie » qu’il ne fallait pas négliger. Derechef son estomac se crispa mais il pensa comme toujours « plus tard! ».
On était arrivé à la saison des pluies, une saison redoutable, une saison spéciale durant laquelle tout peut arriver en bien comme en mal. Pour lui c’était, jusque-là, la belle saison, celle où l’on reste cloîtré dans sa bicoque près du fleuve à lire et à méditer pourvu qu’on soit en bonne santé sinon appeler au secours, par radio, pour dire qu’on a un crabe qui vous bouffe l’estomac, jamais ils ne comprendraient !
Autant reprendre sa lecture et repartir se balader en gondole dans les canaux de cette ville extraordinaire qui flotte sur l’eau et qu’on ne peut trouver qu’en rêve !
Messages : 2082
Le 05/05/2021 à 17h07
Titres : Le liseur Bernhard Schlink – Le consentement Vanessa Springora
Comme chaque jour l’homme partait à l’aube, son livre sous le bras, en direction de la gare où il prenait un train de banlieue afin de se rendre sur son lieu de travail. Et comme chaque jour il
occupait invariablement le même fauteuil. C’était devenu un rituel immuable au fil du temps. Il arrivait, il prenait place et entamait la lecture d’un nouveau chapitre de son livre. À partir de cet instant rien ni personne ne pouvait lui faire lever le nez de son ouvrage. Il était hermétique à tout et à tous. Ce jour-là, à peine avait-il pénétré dans le train que le liseur se crispa. A sa place était confortablement installée une jeune femme. Il la détailla en un clin d’œil. C’était une jeune femme ordinaire, sans rien de spécial si ce n’est qu’elle occupait impunément une place qui n’était pas la sienne. Il sentit une colère froide sourdre en lui. Elle allait voir de quoi il était capable. Alors qu’il s’approchait de la jeune femme, prêt à en découdre, celle-ci leva sur lui un regard si empli de bonté qu’il perdit instantanément toute velléité de combat. D’autant plus que la jeune femme tenait dans ses mains un roman d’un de ses auteurs préférés. Sans qu’il puisse en comprendre la raison son cœur se mit à battre la chamade. Soudain son corps, en proie à mille émois, se déroba sous lui au point qu’il se retrouva assis en face de la belle sans pouvoir prononcer le moindre mot. Tout à coup, mus par un consentement tacite, chacun sortit de son mutisme pour engager la conversation sur leur sujet favori : la littérature. Ils ne le savaient pas encore mais l’un et l’autre venaient de trouver son âme sœur et s’apprêtaient à écrire la plus belle page de leur histoire.
Super !
]