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Envie de claquer la porte. Envie de faire des claquettes. Porte fermée. Fermeture des portes. Porte ascenseur ascenseur de la septième ciel 7e ciel fermé. Plus de paradis pour personne. Personne n'est plus là. La la la la la la la la lère. L'air de rien l'air de rien. Rien ne va plus plus jamais plus jamais et il n'y a plus de soleil pour les tournesols. Mais c'est pas triste parce que il y a le réchauffement de la planète donc ça va aller quand même. Voilà j'écris n'importe quoi et ça fait du bien. En tous les cas bonne journée à toutes et à tous. Et ça c'est pas du grand n'importe quoi et c'est très sincère sincèrement vôtre votre amie pour toujours
Coucou ma belle amie, j'ai décidé d'envoyer des papillons du bonheur qu'ils se posent sur vos coeurs et la joie et les sourires seront au rendez vous . BELLE JOURNEE . J'aimmmeee ce que tu as écrit
Tu as raison, elle est à l'envers quand on veut voir le bel inconnu mais elle est à l'endroit par rapport à mon cadrage initial. Mais la voici donc "à l'endroit" pour admirer le mystérieux reflet...
Vraiment surprenante . Je n'ai pas de mots . Belle journée
Coucou ma belle amie, j'ai décidé d'envoyer des papillons du bonheur qu'ils se posent sur vos coeurs et la joie et les sourires seront au rendez vous . BELLE JOURNEE . J'aimmmeee ce que tu as écrit
Merci beaucoup ma chère Dominique bon tu avais compris que comme je dicte mes messages des fois c'est pas très au clair donc c'est pas la 7e sept ciel c'est bien le 7e ciel exetera bref...
MA REPONSE POUR L'ECRITURE "FOLLE"
En se réveillant il avait des souvenirs râpeux , de ceux qui vous gratouillent partout ;il avait l'impression qu'ils s'accrochaient dans son cerveau fatigué après un si long voyage . La navette avait atterri sur la planète Poussière comme prévu ; mais l'appareil s'était fracassé violemment et le choc avait été si rude qu'Olitunon avait l'impression que sa tête était comme le vieux soleil ridé qu'il dessinait si souvent sur son carnet de notes ...La tendresse voyageuse, qui l'animait à chaque découverte de nouvelles planètes ,exacerbait en lui son don de la musique . La fleur musicale se développait alors en lui et il composait un nouveau morceau pour ce moment. Mais aujourd'hui il avait très mal à la tête . Il sentit une énorme bosse à l'arrière de son crâne . Il serait bien descendu de l'appareil mais il fallait qu'il reprenne ses esprits et que la musique cesse de jouer dans sa tête . Il en était sûr , on essayait de pénétrer dans l'engin :"Qui est là?" dit-il sans savoir si les dix huit langues qu'il connaissait suffirait à se faire comprendre . Il prononça alors une phrase à fossettes comme sa compagne se plaisait à surnommer ces mots miraculeux qu'il avait le don d'amener avec un air des plus enjôleurs en clignant ses longues paupières , ce qui lui donna sur la planète poussière nommée "Oufzut", une expression étrange qui peignit son visage d'une fureur flottante , la gravitation y étant plus que prononcée :"Non , ce n'est pas ce que je veux donner comme impression "dit-il tout haut en langue Tiveréa et , c'est là qu'il la vit : la main visqueuse laissait des traces d'un liquide brillant , spectral sur les claviers de la navette . Il se demandait ce qu'elle essayait de faire : voulait-elle faire décoller l'aéronef? Etait-elle une sorte de parasite? Où était le corps qui allait avec? Puis , avant même avant même d'avoir réussi à l'attraper , il la vit en train de lui préparer des pâtes mais il n'en avait jamais vu de pareilles . Elles virevoltaient dans l'assiette , fumantes ,odoriférant la pièce d'un parfum délicieux ;un peu comme une nouvelle mélodie qui aurait imprégné son esprit . Oui , voilà! c'était des MACARONIS MAGIQUES. Avant de disparaître la main avait écrit des égratignures sur un des panneaux de l'appareil. Il ne savait pas ce que ça représentait . Il décida de partir à l'aventure, s'équipa et descendit de sa navette. Ses longues antennes raclaient le sol poussièreux et ses gros yeux globuleux s'émerveillèrent devant le ciel où un arc-en-ciel déchaîné projetait sans cesse des couleurs nouvelles qui se chevauchaient , se mêlaient en une farandole incessante et éblouissante de teintes toutes plus folles les unes que les autres . Et soudain une acclamation vibra à ses pieds , il approcha sa pince. Des fourmis se noyaient dans leurs larmes en scandant un nom "ERUTIVE! ERUTIVE!" Elles l'avaient reconnu pensaient-elles . C'était celui qu'elles attendaient depuis si longtemps . Quand Olitunon tourna son regard vers l'horizon , il vit son visage gravé dans la paroi rocheuse qui surplombait cette terre aride. Il était un DIEU. Des milliers de fourmis émotives l'encerclaient .Il était secoué à son tour par les émotions, le panier vagabond empli de joies , de bonheur , d'hystérie , de certitudes ..Et perdu dans l'enthousiasme des petits êtres , il ne vit pas son radeau filé par la voie lactée , se détacher du sol sur l'ordre télépathe de ses nouvelles amies qui voulaient le garder à tout jamais
Merci beaucoup ma chère Dominique bon tu avais compris que comme je dicte mes messages des fois c'est pas très au clair donc c'est pas la 7e sept ciel c'est bien le 7e ciel exetera bref...
Ça fait du bien de se lâcher un peu bisous
Oui , oui bien sûr , j'aime ta poésie , c'est comme l'oulipo ... On écrit son ressenti et ça résonne comme un battement de coeur , ça nous imprègne et ça fait du bien . Merci ....
MA REPONSE POUR L'ECRITURE "FOLLE"
En se réveillant il avait des souvenirs râpeux , de ceux qui vous gratouillent partout ;il avait l'impression qu'ils s'accrochaient dans son cerveau fatigué après un si long voyage . La navette avait atterri sur la planète Poussière comme prévu ; mais l'appareil s'était fracassé violemment et le choc avait été si rude qu'Olitunon avait l'impression que sa tête était comme le vieux soleil ridé qu'il dessinait si souvent sur son carnet de
notes ...La tendresse voyageuse, qui l'animait à chaque découverte de nouvelles planètes ,exacerbait en lui son don de la musique . La fleur musicale se développait alors en lui et il composait un nouveau morceau pour ce moment. Mais aujourd'hui il avait très mal à la tête . Il sentit une énorme bosse à l'arrière de son crâne . Il serait bien descendu de l'appareil mais il fallait qu'il reprenne ses esprits et que la musique cesse de jouer dans sa tête . Il en était sûr , on essayait de pénétrer dans l'engin :"Qui est là?" dit-il sans savoir si les dix huit langues qu'il connaissait suffirait à se faire comprendre . Il prononça alors une phrase à fossettes comme sa compagne se plaisait à surnommer ces mots miraculeux qu'il avait le don d'amener avec un air des plus enjôleurs en clignant ses longues paupières , ce qui lui donna sur la planète poussière nommée "Oufzut", une expression étrange qui peignit son visage d'une fureur flottante , la gravitation y étant plus que prononcée :"Non , ce n'est pas ce que je veux donner comme impression "dit-il tout haut en langue Tiveréa et , c'est là qu'il la vit : la main visqueuse laissait des traces d'un liquide brillant , spectral sur les claviers de la navette . Il se demandait ce qu'elle essayait de faire : voulait-elle faire décoller l'aéronef? Etait-elle une sorte de parasite? Où était le corps qui allait avec? Puis , avant même avant même d'avoir réussi à l'attraper , il la vit en train de lui préparer des pâtes mais il n'en avait jamais vu de pareilles . Elles virevoltaient dans l'assiette , fumantes ,odoriférant la pièce d'un parfum délicieux ;un peu comme une nouvelle mélodie qui aurait imprégné son esprit . Oui , voilà! c'était des MACARONIS MAGIQUES. Avant de disparaître la main avait écrit des égratignures sur un des panneaux de l'appareil. Il ne savait pas ce que ça représentait . Il décida de partir à l'aventure, s'équipa et descendit de sa navette. Ses longues antennes raclaient le sol poussièreux et ses gros yeux globuleux s'émerveillèrent devant le ciel où un arc-en-ciel déchaîné projetait sans cesse des couleurs nouvelles qui se chevauchaient , se mêlaient en une farandole incessante et éblouissante de teintes toutes plus folles les unes que les autres . Et soudain une acclamation vibra à ses pieds , il approcha sa pince. Des fourmis se noyaient dans leurs larmes en scandant un nom "ERUTIVE! ERUTIVE!" Elles l'avaient reconnu pensaient-elles . C'était celui qu'elles attendaient depuis si longtemps . Quand Olitunon tourna son regard vers l'horizon , il vit son visage gravé dans la paroi rocheuse qui surplombait cette terre aride. Il était un DIEU. Des milliers de fourmis émotives l'encerclaient .Il était secoué à son tour par les émotions, le panier vagabond empli de joies , de bonheur , d'hystérie , de certitudes ..Et perdu dans l'enthousiasme des petits êtres , il ne vit pas son radeau filé par la voie lactée , se détacher du sol sur l'ordre télépathe de ses nouvelles amies qui voulaient le garder à tout jamais
Coucou ma belle amie, j'ai décidé d'envoyer des papillons du bonheur qu'ils se posent sur vos coeurs et la joie et les sourires seront au rendez vous . BELLE JOURNEE . J'aimmmeee ce que tu as écrit
En fin de semaine, je vais tâcher d'écrire une petite et folle histoire mais beaucoup de travail en attendant la délivrance. Merci infiniment pour votre chaleureux accueil.
MA REPONSE POUR L'ECRITURE "FOLLE"
En se réveillant il avait des souvenirs râpeux , de ceux qui vous gratouillent partout ;il avait l'impression qu'ils s'accrochaient dans son cerveau fatigué après un si long voyage . La navette avait atterri sur la planète Poussière comme prévu ; mais l'appareil s'était fracassé violemment et le choc avait été si rude qu'Olitunon avait l'impression que sa tête était comme le vieux soleil ridé qu'il dessinait si souvent sur son carnet de notes ...La tendresse voyageuse, qui l'animait à chaque découverte de nouvelles planètes ,exacerbait en lui son don de la musique . La fleur musicale se développait alors en lui et il composait un nouveau morceau pour ce moment. Mais aujourd'hui il avait très mal à la tête . Il sentit une énorme bosse à l'arrière de son crâne . Il serait bien descendu de l'appareil mais il fallait qu'il reprenne ses esprits et que la musique cesse de jouer dans sa tête . Il en était sûr , on essayait de pénétrer dans l'engin :"Qui est là?" dit-il sans savoir si les dix huit langues qu'il connaissait suffirait à se faire comprendre . Il prononça alors une phrase à fossettes comme sa compagne se plaisait à surnommer ces mots miraculeux qu'il avait le don d'amener avec un air des plus enjôleurs en clignant ses longues paupières , ce qui lui donna sur la planète poussière nommée "Oufzut", une expression étrange qui peignit son visage d'une fureur flottante , la gravitation y étant plus que prononcée :"Non , ce n'est pas ce que je veux donner comme impression "dit-il tout haut en langue Tiveréa et , c'est là qu'il la vit : la main visqueuse laissait des traces d'un liquide brillant , spectral sur les claviers de la navette . Il se demandait ce qu'elle essayait de faire : voulait-elle faire décoller l'aéronef? Etait-elle une sorte de parasite? Où était le corps qui allait avec? Puis , avant même avant même d'avoir réussi à l'attraper , il la vit en train de lui préparer des pâtes mais il n'en avait jamais vu de pareilles . Elles virevoltaient dans l'assiette , fumantes ,odoriférant la pièce d'un parfum délicieux ;un peu comme une nouvelle mélodie qui aurait imprégné son esprit . Oui , voilà! c'était des MACARONIS MAGIQUES. Avant de disparaître la main avait écrit des égratignures sur un des panneaux de l'appareil. Il ne savait pas ce que ça représentait . Il décida de partir à l'aventure, s'équipa et descendit de sa navette. Ses longues antennes raclaient le sol poussièreux et ses gros yeux globuleux s'émerveillèrent devant le ciel où un arc-en-ciel déchaîné projetait sans cesse des couleurs nouvelles qui se chevauchaient , se mêlaient en une farandole incessante et éblouissante de teintes toutes plus folles les unes que les autres . Et soudain une acclamation vibra à ses pieds , il approcha sa pince. Des fourmis se noyaient dans leurs larmes en scandant un nom "ERUTIVE! ERUTIVE!" Elles l'avaient reconnu pensaient-elles . C'était celui qu'elles attendaient depuis si longtemps . Quand Olitunon tourna son regard vers l'horizon , il vit son visage gravé dans la paroi rocheuse qui surplombait cette terre aride. Il était un DIEU. Des milliers de fourmis émotives l'encerclaient .Il était secoué à son tour par les émotions, le panier vagabond empli de joies , de bonheur , d'hystérie , de certitudes ..Et perdu dans l'enthousiasme des petits êtres , il ne vit pas son radeau filé par la voie lactée , se détacher du sol sur l'ordre télépathe de ses nouvelles amies qui voulaient le garder à tout jamais
Messages : 646
Le 01/12/2020 à 13h51
Coucou ma belle amie, j'ai décidé d'envoyer des papillons du bonheur qu'ils se posent sur vos coeurs et la joie et les sourires seront au rendez vous . BELLE JOURNEE . J'aimmmeee ce que tu as écrit
Messages : 646
Le 01/12/2020 à 13h54
Vraiment surprenante . Je n'ai pas de mots . Belle journée
Messages : 2082
Le 01/12/2020 à 14h03
Merci beaucoup ma chère Dominique bon tu avais compris que comme je dicte mes messages des fois c'est pas très au clair donc c'est pas la 7e sept ciel c'est bien le 7e ciel exetera bref...
Ça fait du bien de se lâcher un peu bisous
Messages : 646
Le 01/12/2020 à 15h14
En se réveillant il avait des souvenirs râpeux , de ceux qui vous gratouillent partout ;il avait l'impression qu'ils s'accrochaient dans son cerveau fatigué après un si long voyage . La navette avait atterri sur la planète Poussière comme prévu ; mais l'appareil s'était fracassé violemment et le choc avait été si rude qu'Olitunon avait l'impression que sa tête était comme le vieux soleil ridé qu'il dessinait si souvent sur son carnet de notes ...La tendresse voyageuse, qui l'animait à chaque découverte de nouvelles planètes ,exacerbait en lui son don de la musique . La fleur musicale se développait alors en lui et il composait un nouveau morceau pour ce moment. Mais aujourd'hui il avait très mal à la tête . Il sentit une énorme bosse à l'arrière de son crâne . Il serait bien descendu de l'appareil mais il fallait qu'il reprenne ses esprits et que la musique cesse de jouer dans sa tête . Il en était sûr , on essayait de pénétrer dans l'engin :"Qui est là?" dit-il sans savoir si les dix huit langues qu'il connaissait suffirait à se faire comprendre . Il prononça alors une phrase à fossettes comme sa compagne se plaisait à surnommer ces mots miraculeux qu'il avait le don d'amener avec un air des plus enjôleurs en clignant ses longues paupières , ce qui lui donna sur la planète poussière nommée "Oufzut", une expression étrange qui peignit son visage d'une fureur flottante , la gravitation y étant plus que prononcée :"Non , ce n'est pas ce que je veux donner comme impression "dit-il tout haut en langue Tiveréa et , c'est là qu'il la vit : la main visqueuse laissait des traces d'un liquide brillant , spectral sur les claviers de la navette . Il se demandait ce qu'elle essayait de faire : voulait-elle faire décoller l'aéronef? Etait-elle une sorte de parasite? Où était le corps qui allait avec? Puis , avant même avant même d'avoir réussi à l'attraper , il la vit en train de lui préparer des pâtes mais il n'en avait jamais vu de pareilles . Elles virevoltaient dans l'assiette , fumantes ,odoriférant la pièce d'un parfum délicieux ;un peu comme une nouvelle mélodie qui aurait imprégné son esprit . Oui , voilà! c'était des MACARONIS MAGIQUES. Avant de disparaître la main avait écrit des égratignures sur un des panneaux de l'appareil. Il ne savait pas ce que ça représentait . Il décida de partir à l'aventure, s'équipa et descendit de sa navette. Ses longues antennes raclaient le sol poussièreux et ses gros yeux globuleux s'émerveillèrent devant le ciel où un arc-en-ciel déchaîné projetait sans cesse des couleurs nouvelles qui se chevauchaient , se mêlaient en une farandole incessante et éblouissante de teintes toutes plus folles les unes que les autres . Et soudain une acclamation vibra à ses pieds , il approcha sa pince. Des fourmis se noyaient dans leurs larmes en scandant un nom "ERUTIVE! ERUTIVE!" Elles l'avaient reconnu pensaient-elles . C'était celui qu'elles attendaient depuis si longtemps . Quand Olitunon tourna son regard vers l'horizon , il vit son visage gravé dans la paroi rocheuse qui surplombait cette terre aride. Il était un DIEU. Des milliers de fourmis émotives l'encerclaient .Il était secoué à son tour par les émotions, le panier vagabond empli de joies , de bonheur , d'hystérie , de certitudes ..Et perdu dans l'enthousiasme des petits êtres , il ne vit pas son radeau filé par la voie lactée , se détacher du sol sur l'ordre télépathe de ses nouvelles amies qui voulaient le garder à tout jamais
Messages : 646
Le 01/12/2020 à 15h18
Ça fait du bien de se lâcher un peu bisous
Oui , oui bien sûr , j'aime ta poésie , c'est comme l'oulipo ... On écrit son ressenti et ça résonne comme un battement de coeur , ça nous imprègne et ça fait du bien . Merci ....
Messages : 2082
Le 01/12/2020 à 15h35
En se réveillant il avait des souvenirs râpeux , de ceux qui vous gratouillent partout ;il avait l'impression qu'ils s'accrochaient dans son cerveau fatigué après un si long voyage . La navette avait atterri sur la planète Poussière comme prévu ; mais l'appareil s'était fracassé violemment et le choc avait été si rude qu'Olitunon avait l'impression que sa tête était comme le vieux soleil ridé qu'il dessinait si souvent sur son carnet de
notes ...La tendresse voyageuse, qui l'animait à chaque découverte de nouvelles planètes ,exacerbait en lui son don de la musique . La fleur musicale se développait alors en lui et il composait un nouveau morceau pour ce moment. Mais aujourd'hui il avait très mal à la tête . Il sentit une énorme bosse à l'arrière de son crâne . Il serait bien descendu de l'appareil mais il fallait qu'il reprenne ses esprits et que la musique cesse de jouer dans sa tête . Il en était sûr , on essayait de pénétrer dans l'engin :"Qui est là?" dit-il sans savoir si les dix huit langues qu'il connaissait suffirait à se faire comprendre . Il prononça alors une phrase à fossettes comme sa compagne se plaisait à surnommer ces mots miraculeux qu'il avait le don d'amener avec un air des plus enjôleurs en clignant ses longues paupières , ce qui lui donna sur la planète poussière nommée "Oufzut", une expression étrange qui peignit son visage d'une fureur flottante , la gravitation y étant plus que prononcée :"Non , ce n'est pas ce que je veux donner comme impression "dit-il tout haut en langue Tiveréa et , c'est là qu'il la vit : la main visqueuse laissait des traces d'un liquide brillant , spectral sur les claviers de la navette . Il se demandait ce qu'elle essayait de faire : voulait-elle faire décoller l'aéronef? Etait-elle une sorte de parasite? Où était le corps qui allait avec? Puis , avant même avant même d'avoir réussi à l'attraper , il la vit en train de lui préparer des pâtes mais il n'en avait jamais vu de pareilles . Elles virevoltaient dans l'assiette , fumantes ,odoriférant la pièce d'un parfum délicieux ;un peu comme une nouvelle mélodie qui aurait imprégné son esprit . Oui , voilà! c'était des MACARONIS MAGIQUES. Avant de disparaître la main avait écrit des égratignures sur un des panneaux de l'appareil. Il ne savait pas ce que ça représentait . Il décida de partir à l'aventure, s'équipa et descendit de sa navette. Ses longues antennes raclaient le sol poussièreux et ses gros yeux globuleux s'émerveillèrent devant le ciel où un arc-en-ciel déchaîné projetait sans cesse des couleurs nouvelles qui se chevauchaient , se mêlaient en une farandole incessante et éblouissante de teintes toutes plus folles les unes que les autres . Et soudain une acclamation vibra à ses pieds , il approcha sa pince. Des fourmis se noyaient dans leurs larmes en scandant un nom "ERUTIVE! ERUTIVE!" Elles l'avaient reconnu pensaient-elles . C'était celui qu'elles attendaient depuis si longtemps . Quand Olitunon tourna son regard vers l'horizon , il vit son visage gravé dans la paroi rocheuse qui surplombait cette terre aride. Il était un DIEU. Des milliers de fourmis émotives l'encerclaient .Il était secoué à son tour par les émotions, le panier vagabond empli de joies , de bonheur , d'hystérie , de certitudes ..Et perdu dans l'enthousiasme des petits êtres , il ne vit pas son radeau filé par la voie lactée , se détacher du sol sur l'ordre télépathe de ses nouvelles amies qui voulaient le garder à tout jamais
Genial !!!
Messages : 646
Le 01/12/2020 à 15h37
Merci mon adorable Kryan
Messages : 14
Le 01/12/2020 à 20h00
J'ai eu la chance d'avoir les mots mais l'explication non..;-)
Messages : 14
Le 01/12/2020 à 20h02
En fin de semaine, je vais tâcher d'écrire une petite et folle histoire mais beaucoup de travail en attendant la délivrance. Merci infiniment pour votre chaleureux accueil.
Messages : 656
Le 02/12/2020 à 05h08
En se réveillant il avait des souvenirs râpeux , de ceux qui vous gratouillent partout ;il avait l'impression qu'ils s'accrochaient dans son cerveau fatigué après un si long voyage . La navette avait atterri sur la planète Poussière comme prévu ; mais l'appareil s'était fracassé violemment et le choc avait été si rude qu'Olitunon avait l'impression que sa tête était comme le vieux soleil ridé qu'il dessinait si souvent sur son carnet de notes ...La tendresse voyageuse, qui l'animait à chaque découverte de nouvelles planètes ,exacerbait en lui son don de la musique . La fleur musicale se développait alors en lui et il composait un nouveau morceau pour ce moment. Mais aujourd'hui il avait très mal à la tête . Il sentit une énorme bosse à l'arrière de son crâne . Il serait bien descendu de l'appareil mais il fallait qu'il reprenne ses esprits et que la musique cesse de jouer dans sa tête . Il en était sûr , on essayait de pénétrer dans l'engin :"Qui est là?" dit-il sans savoir si les dix huit langues qu'il connaissait suffirait à se faire comprendre . Il prononça alors une phrase à fossettes comme sa compagne se plaisait à surnommer ces mots miraculeux qu'il avait le don d'amener avec un air des plus enjôleurs en clignant ses longues paupières , ce qui lui donna sur la planète poussière nommée "Oufzut", une expression étrange qui peignit son visage d'une fureur flottante , la gravitation y étant plus que prononcée :"Non , ce n'est pas ce que je veux donner comme impression "dit-il tout haut en langue Tiveréa et , c'est là qu'il la vit : la main visqueuse laissait des traces d'un liquide brillant , spectral sur les claviers de la navette . Il se demandait ce qu'elle essayait de faire : voulait-elle faire décoller l'aéronef? Etait-elle une sorte de parasite? Où était le corps qui allait avec? Puis , avant même avant même d'avoir réussi à l'attraper , il la vit en train de lui préparer des pâtes mais il n'en avait jamais vu de pareilles . Elles virevoltaient dans l'assiette , fumantes ,odoriférant la pièce d'un parfum délicieux ;un peu comme une nouvelle mélodie qui aurait imprégné son esprit . Oui , voilà! c'était des MACARONIS MAGIQUES. Avant de disparaître la main avait écrit des égratignures sur un des panneaux de l'appareil. Il ne savait pas ce que ça représentait . Il décida de partir à l'aventure, s'équipa et descendit de sa navette. Ses longues antennes raclaient le sol poussièreux et ses gros yeux globuleux s'émerveillèrent devant le ciel où un arc-en-ciel déchaîné projetait sans cesse des couleurs nouvelles qui se chevauchaient , se mêlaient en une farandole incessante et éblouissante de teintes toutes plus folles les unes que les autres . Et soudain une acclamation vibra à ses pieds , il approcha sa pince. Des fourmis se noyaient dans leurs larmes en scandant un nom "ERUTIVE! ERUTIVE!" Elles l'avaient reconnu pensaient-elles . C'était celui qu'elles attendaient depuis si longtemps . Quand Olitunon tourna son regard vers l'horizon , il vit son visage gravé dans la paroi rocheuse qui surplombait cette terre aride. Il était un DIEU. Des milliers de fourmis émotives l'encerclaient .Il était secoué à son tour par les émotions, le panier vagabond empli de joies , de bonheur , d'hystérie , de certitudes ..Et perdu dans l'enthousiasme des petits êtres , il ne vit pas son radeau filé par la voie lactée , se détacher du sol sur l'ordre télépathe de ses nouvelles amies qui voulaient le garder à tout jamais