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Alors que les médecins viennent de lui annoncer que les métastases ont envahi son corps, le narrateur, qui n'est autre que Pirotte lui-même, se penche sur son passé et décortique les carnets que de tout temps il a rempli de réflexions, poèmes ou souvenirs.
Il aura bien fallu cette centaine de pages pour que je m'attache un tant soit peu à ce texte truffé de références qui restent ésotériques si l'on ne connait pas la biographie de l'auteur. Mais désormais je suis ferrée, je suis dans son univers et déjà triste de savoir qu'il ne reste que 40 pages avant de quitter cet amoureux de la littérature qui se raconte dans une si belle langue.
je trouve que le livre est très bien écrit, mais je ne suis personnellement pas passionnée par son histoire; il faut avoir le moral et une sérieuse motivation pour se plonger dans la vie de Pirotte (ça n'est pas un livre de vacances !). Arrivé à la page 100, je passe à un autre livre; je reviendrai sur "Brouillard" la semaine prochaine.
Le narrateur retrace sa vie et ses impressions dans des carnets écrits essentiellement en 1957 et en 1963.
Alors que le cancer le ronge, quarante ans plus tard, il saute de l’un à l’autre de ces carnets, revivant ses souvenirs.
C’est très descriptif, empreint de nostalgie, mais ces incessants va-et-vient d’une période à l’autre donnent une sensation de décousu et empêchent d’entrer vraiment dans le roman.
Messages : 37
Le 07/08/2013 à 14h33
Il aura bien fallu cette centaine de pages pour que je m'attache un tant soit peu à ce texte truffé de références qui restent ésotériques si l'on ne connait pas la biographie de l'auteur. Mais désormais je suis ferrée, je suis dans son univers et déjà triste de savoir qu'il ne reste que 40 pages avant de quitter cet amoureux de la littérature qui se raconte dans une si belle langue.
Messages : 14
Le 21/08/2013 à 14h29
Messages : 56
Le 31/08/2013 à 14h29
Alors que le cancer le ronge, quarante ans plus tard, il saute de l’un à l’autre de ces carnets, revivant ses souvenirs.
C’est très descriptif, empreint de nostalgie, mais ces incessants va-et-vient d’une période à l’autre donnent une sensation de décousu et empêchent d’entrer vraiment dans le roman.