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Deon Meyer

Deon Meyer
Né en 1958 à Paarl, en Afrique du Sud, Deon Meyer a grandi dans une ville minière de la Province du Nord-Ouest. Ancien journaliste, puis rédacteur publicitaire et stratège en positionnement Internet, il est aujourd'hui l'auteur unanimement reconnu de best-sellers traduits dans 15 pays. Il vit à M... Voir plus
Né en 1958 à Paarl, en Afrique du Sud, Deon Meyer a grandi dans une ville minière de la Province du Nord-Ouest. Ancien journaliste, puis rédacteur publicitaire et stratège en positionnement Internet, il est aujourd'hui l'auteur unanimement reconnu de best-sellers traduits dans 15 pays. Il vit à Melkbosstrand.

Articles en lien avec Deon Meyer (1)

Avis sur cet auteur (64)

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    Couverture du livre « Cupidité » de Deon Meyer aux éditions Gallimard

    Spitfire89 sur Cupidité de Deon Meyer

    Plusieurs enquêtes s’entremêle, le dernier tome de la série Benny Griessel. Le schéma classique de cette saga, actions, suspense, émotions et opportunité avec des personnages toujours attachants. L’auteur multiplie les rebondissements. Un excellent polar bien mené, Mensonge, Corruption, Trahison...
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    Plusieurs enquêtes s’entremêle, le dernier tome de la série Benny Griessel. Le schéma classique de cette saga, actions, suspense, émotions et opportunité avec des personnages toujours attachants. L’auteur multiplie les rebondissements. Un excellent polar bien mené, Mensonge, Corruption, Trahison et Cupidité.

    "Les armes à feu crépitent, les plombs heurtent les trois véhicules et la chaussée, les balles fusent, certaines frôlent leur cible, une forte odeur chimique se fait sentir."

    "Je connais ça, je connais les hommes depuis que j’ai quinze, seize ans. Ça revient tout le temps. Ces attaques. Souvent en arrière-plan, sous la surface, surtout quand on commence à travailler en présence de collègues masculins et de clients masculins. La plupart sont lâches, prudents, ils tâtent le terrain. Mais c’est constant, inéluctable, cela enfle comme le bruissement d’une ville en bruit de fond. Un vacarme blanc. On apprend, lentement mais sûrement, à le gérer, on s’y habitue, on sait qu’il est présent, on choisit de ne pas l’écouter tout le temps. Parfois le raffut est direct, il détruit les défenses, il faut alors tout jeter à terre et faire face. Demeurer courtoise mais ferme, ou bien rire, selon les circonstances, cela désamorce l’affaire. Essayer de préserver sa dignité, son professionnalisme, sa carrière. Je l’ai appris durement, Charlie. J’ai commis des erreurs. Me suis fâchée, car je porte beaucoup de colère en moi. J’ai compromis mon premier emploi à cause de cette fureur, parce que j’ai perdu mon flegme face à un client qui ne voulait pas arrêter. C’est alors que j’ai compris que l’on ne jouait pas sur le même terrain. Ce n’est pas un combat à armes égales. Surtout pas quand on est une femme, jeune, pauvre, désespérée et sans qualification. Quand on n’a pas le filet de sécurité émotionnel et financier de parents attentifs, équilibrés. Se fâcher ne sert à rien. En référer aux chefs ne sert à rien, même s’ils émettent quelques grognements compréhensifs, car cela nous stigmatise : "un certain genre","pas d’esprit d’équipe". Je l’ai appris à la dure, Charlie, si je veux gagner, je dois être plus maligne. Plus agile."

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    Couverture du livre « Soldats de l'aube (les) » de Deon Meyer aux éditions Seuil

    Spitfire89 sur Soldats de l'aube (les) de Deon Meyer

    L’intrigue se déroule de manière alternée entre les chapitres écrits à la troisième personne et décrivant la délicate enquête, et ceux écrits à la première personne et détaillant l’histoire de la vie personnelle de Zet.

    La vie de Zet s’apparente à un redresseur de torts qui nous fait...
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    L’intrigue se déroule de manière alternée entre les chapitres écrits à la troisième personne et décrivant la délicate enquête, et ceux écrits à la première personne et détaillant l’histoire de la vie personnelle de Zet.

    La vie de Zet s’apparente à un redresseur de torts qui nous fait comprendre que nul ne détient une unique vérité, et que la cohabitation avec d’anciens ennemis est difficile. L’histoire de Zet, de l’intrigue dévoile en parallèle le trouble passé de l’Afrique du sud et le démon de l’Apartheid.

    Un roman magistral qui a reçut le prix de littérature policière étrangère ainsi que le prix mystère de la critique. Meyer est un horloger du scénario, un spécialiste de l’issue fatale. Son style charrie du sang, de la sueur et des larmes.

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    Couverture du livre « Kobra » de Deon Meyer aux éditions Points

    Spitfire89 sur Kobra de Deon Meyer

    Un polar noir de Deon Meyer, tome 4 de la série Benny Griessel, l’intrigue efficace, palpitant, un rythme intense. Au coeur de ce tome Science mathématique, logiciel informatique, marché financier, Meurtre.

    L’auteur a une bonne plume entre les descriptions, le réalisme et le...
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    Un polar noir de Deon Meyer, tome 4 de la série Benny Griessel, l’intrigue efficace, palpitant, un rythme intense. Au coeur de ce tome Science mathématique, logiciel informatique, marché financier, Meurtre.

    L’auteur a une bonne plume entre les descriptions, le réalisme et le contexte.

    "Elle fouilla dans son sac et en sortit un paquet de mouchoirs, qu’elle serra dans son poing en observant les cinq corps sans vie. Cet après-midi, leurs proches, pères et mères, femmes, enfants, seraient anéantis par le chagrin. Ils disparaîtraient des gros titres au bout de quelques jours, mais les conséquences de cet acte, elles, perdureraient bien au-delà, telle une onde de choc, laissant des gens seuls pour subvenir aux besoins de leur famille, entraînant une pauvreté et une souffrance encore plus grandes, et cela jusque dans un futur lointain, quand le fils ou la fille d’un de ces hommes dirait à un travailleur social ou à un juge "mon père est mort quand j’avais quatre ans."

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    Couverture du livre « 7 jours » de Deon Meyer aux éditions Points

    Spitfire89 sur 7 jours de Deon Meyer

    Un thriller assez bon, ambiance, paysage et psychologie des personnages bien ficelé. Deux affaires, les chapitres sont cours. L’auteur joue sur l’ambiguïté afin de ne pas tout révélé car certaines relations son bizarres. Ce tome n’est pas m’on préféré de la série Benny Griessel. Le rythme et les...
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    Un thriller assez bon, ambiance, paysage et psychologie des personnages bien ficelé. Deux affaires, les chapitres sont cours. L’auteur joue sur l’ambiguïté afin de ne pas tout révélé car certaines relations son bizarres. Ce tome n’est pas m’on préféré de la série Benny Griessel. Le rythme et les tensions sont vraiment palpable vers la fin. La plume n’est pas très fluide et pas toujours dynamiques et percutante. Ce tome est vraiment lent.

    "Aujourd’hui, voici précisément 40 jours qu’Hanneke Sloet a été assassinée. 40 jours de dissimulation. Vous savez pourquoi elle a été tuée.
    C’est mon cinquième message mais vous n’écoutez pas. À présent, vous ne me laissez plus le choix. Aujourd’hui, je vais tirer sur un policier. Dans les jambes. Et tous les jours, je tirerai sur un policier, jusqu’à ce que vous condamniez le meurtrier.
    S’il n’y a pas de compte rendu dans le journal demain annonçant que vous avez rouvert le dossier Sloet, la prochaine balle ne sera pas dans la jambe. "

    "Blancs, Noirs ou Métis. Et il soupçonnait qu’il en avait toujours été ainsi depuis des centaines d’années. Il y avait toujours eu des femmes qui réclamaient plus d’attention que d’autres. Son instinct lui soufflait que la vie, les actions des gens se résumaient à la vieille règle de criminologie : prédisposition, environnement et circonstances. La nouvelle Afrique du Sud n’y avait rien changé. Pas plus que Facebook, Twitter ou Linked Up ou In, quel que soit le dernier truc à la mode."

    "Quand elle l’avait embrassé, il n’avait pas pensé à faire l’amour, il avait eu une envie violente et soudaine de boire. Et d’être à sa place, dans ce monde doux et nébuleux de l’ébriété ou tout est arrondi et inoffensif, sans coins ni arêtes pour vous blesser."