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Reykjavik

  • Un polar gentillet qui se lit facilement.
    Un cold case ; un jeune journaliste sur met en tête d'écrire un article sur cette disparition vieille de 30 voire de résoudre cette affaire.
    Des jeunes bien sympas, des quinquas antipathiques et un rebondissement.
    L'intrigue demeure mystérieuse jusqu'aux toutes dernières pages mais ce n'est pas très palpitant.
    Et puis, est-ce la traduction ?, l'écriture est simple, trop simple, presque scolaire.
    Un avis mitigé.

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  • Ce nouveau livre est plutôt lent avant de prendre un rythme plus classique. L’intrigue est bien construite il n’y a pas trop de temps morts. Une Islande en pleine mutation, rencontre entre le président américain et de l’URSS. Anniversaire de Reykjavík pour les 200 ans. Des personnages attachants, une écriture a quatre mains réalistes mais j’ai malgré tout une préférence pour les précédentes intrigues de Ragnar Jónasson.

    "Les recherches de la police n’avaient rien donné. Les plages avaient été inspectées, mais on n’y avait trouvé ni corps échoué, ni bagages. Lára s’était comme évaporée."

    "L’adolescente avait disparu sous leur nez. Le constat était simple : ils avaient d’abord été trois sur cette île, puis il n’en était resté que deux. Comme dans un roman policier d’Agatha Christie."

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  • Islande, année 1986. Un jeune journaliste se lance à la recherche de Lana, disparue depuis 30 ans un soir d'août.

    Elle devait quitter son job d'été sur l'île de Videy, mais elle n'a jamais donné signe de vie depuis.

    J'ai aimé suivre Valur le jeune journaliste qui n'arrive pas à faire parler les témoins mais qui reçoit des indices d'une source anonyme.

    J'ai aimé que sa sœur Sunna reprenne le flambeau.

    J'ai aimé me promener dans les rues de la capitale dans les années 80.

    Un roman qui ne renouvèlera pas le genre mais qui se laisse bien lire.

    L'image que je retiendrai :

    Celle de la nuit qui arrive très tôt en automne.

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  • Ayant beaucoup de plaisir à lire les romans de ragnar jonasson, j apprehendais une co-ecriture. Mais je ne suis pas déçu. Quelle enquête très bien ficelée, son final inattendu. Encore un coup de cœur.

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  • Ce roman raconte la quête d'une jeune fille de 15 ans subitement disparue sur l'île Videy,30 ans de recherches que nous retracent Ragnar Jonasson et une 1ere ministre Katrin Jakobsdottir:une collaboration insolite pour ce polar qui se lit vite!le nom des protagonistes,la cartographie des lieux figurent en tête de livre.Un coupable presque surprenant si on ne lit pas la dernière page comme moi:mauvaise habitude!

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  • Une étonnante collaboration pour ce polar nordique dont le titre situe l’action ! C’est en effet la première ministre islandaise qui a participé à la rédaction de ce roman qui revient sur une ancienne affaire au coeur des années 80 : la disparition soudaine et inexpliquée trente ans plus tôt d’une adolescente de 15 ans.

    Tous les dix ans la presse commémore ce triste anniversaire. Le jeune et ambitieux journaliste Valur, n’a pas envie d’en rester là et d’attendre une autre décennie inutile. Il décide de se replonger dans l’enquête. mais le temps ne suffit pas pour que les secrets se dévoilent plus facilement qu’au moment où l’affaire a défrayé la chronique.

    C’est un polar tranquille. Pas de scènes macabres, pas de poursuites palpitantes, il faudra attendre les dernières pages pour qu’un peu d’action se mette en place. L’enquête est cependant intéressante, d’autant qu’elle sert de support à l’histoire politique de l’Islande.

    On s’attache particulièrement au jeune journaliste ambitieux, et épris de vérité. Quant aux autres personnages, ils cachent si bien leur jeu qu’on en arrive à soupçonner tout le monde, d’autant que l’on sait très bien que le coupable est là présent sous nos yeux, sans pouvoir l’identifier.

    328 pages Martinière 6 octobre 2023
    #Reykjavik #NetGalleyFrance

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  • Cold case
    Avant tout, je remercie chaleureusement NetGalley et les éditions de la Martinière pour leur confiance en m’adressant ce roman tout juste sorti en librairie (le 6 octobre).
    C’est la fin de l’été à Reykjavik. Il y a encore de belles journées en août mais en Islande la météo change vite. Cela n’empêche pas les islandais de faire la fête pour le bicentenaire de leur capitale en 1986. Mais bien que l’heure soit aux réjouissances, une ombre persiste à les ternir, celle de la disparition d’une jeune fille de quinze ans, Lára, trente ans plus tôt, sur la petite île de Videy à quelques encablures de Reykjavik. Lára était venue travailler l’été comme employée de maison chez Òttar et Òlöf : tout se passait au mieux mais elle avait finalement décidé de rompre son contrat. Le couple la pensait rentrée chez elle mais les parents de Lára, inquiets de ne pas avoir de nouvelles, avaient alerté la police. Après une rapide enquête, le dossier avait été refermé, concluant à une fugue ou un suicide. Mais Kristján le jeune inspecteur dépêché sur les lieux en 1956 n’avait jamais pu oublier Lára, la disparition de la jeune fille irrésolue restant, pour lui, un cuisant échec, d’autant que tous les dix ans, l’affaire revenait sur le devant de la scène, les journaux publiaient de nouveaux articles où l’image de la police était pour le moins écornée… En 1986, c’est Valur qui s’intéresse à l’énigme : jeune reporter, il décide de reprendre l’enquête. Qui sait ? Peut-être ses papiers réveilleront certains souvenirs ?
    Sans être une fan absolue des polars nordiques, je prends plaisir à en lire de temps à autres (j’ai d’ailleurs beaucoup aimé ceux d’Eva Björg Aegisdòttir que je vous conseille si vous ne les connaissez pas). Je ne m’étais jamais laissée tenter par ceux de Ragnar Jònasson (à l’exception de « A qui la faute ? »), pourtant très en vue depuis quelques années. Ce cold case glacial a été écrit à quatre mains, avec Katrin Jacobsdòttir qui n’est autre que la première ministre islandaise ! Et c’est plutôt réussi.
    L’enquête est bien ficelée, les auteurs ont ménagé le suspens jusqu’à la fin (petit regret, je l’ai trouvée un petit peu précipitée). Les personnages sont attachants, notamment Valur et sa sœur Sunna. Autre atout de ce thriller, l’atmosphère des années quatre-vingt en Islande, qui à cette époque, était encore un « petit » pays à mi chemin entre New-York et Moscou, sans touristes… Il est d’ailleurs fait mention de la rencontre entre Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev organisée en 1986 à Reykjavik.
    Un bon page-turner.
    #Reykjavik #NetGalleyFrance

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  • 6 août 1956, le jeune policier Kristjan Kristjansson se rend sur la petite île de Videy, juste au large de Reykjavik, La jeune Lara, 15 ans, a disparu. Elle travaillait au service de Olof et Ottar, un couple qui occupe la seule maison de l'île pendant l'été et a souhaité partir... Plus personne n'a de ses nouvelles.
    10 ans, 20 ans, 30 ans plus tard, le mystère reste entier et est encore dans toutes les têtes. Qu'est-il arrivé à Lara ? Août 1986, l'affaire occupe encore la Une de la presse locale grâce au journaliste Valur Robertsson qui décide de mener une enquête approfondie.
    L'auteur à succès Ragnar Jonasson est de retour et il n'est pas seul. La première ministre islandaise l'a en effet accompagné dans l'écriture de ce roman (on ne sait d'ailleurs pas trop qui a écrit quoi)  qui vient après 2 sorties assez décevantes (A qui la faute, Dix âmes pas plus). J'ai trouvé ce récit plus convaincant, (pas autant que la trilogie de La dame de Reykjavik quand même).
    Des chapitres courts, l'intérêt d'un cold case qui a marqué tout un pays, une capitale en pleine évolution au milieu des années 80... le tout est plutôt emballant même si j'ai ressenti un essoufflement dans la deuxième partie après un rebondissement pas forcément utile.
    Pour qui apprécie le polar nordique, ce Reykjavik vous fera assurément passer un bon moment. Pour qui souhaite découvrir le noir islandais, je conseille plutôt la trilogie évoquée plus haut (ou alors les récits d'un autre auteur: Arnaldur Indridason !)

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