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Quelle vie que celle de cette artiste hors norme qui danse pieds nus, juste vêtue d’un voile. Sans chausson, sans tutu, sans pas codés ; libre.
L’auteure nous donne à voir une enfant puis une femme ivre de vie, qui danse passionnément ou ne danse pas. Une femme qui court après l’argent, également, devenue dispendieuse avec l’âge.
Une femme qui a su s’affranchir du clan familial et notamment de sa mère, pour fonder sa propre école de danse, qui déménagera de nombreuses fois au gré des errances d’Isadora.
Une femme brisée par trois chagrins successifs, mais qui a gardé un appétit de vivre jusqu’au bout. Jusqu’à cette mort cruelle si délicatement annoncée par l’écrivain, en filigrane.
Un écrivain qui a su me faire sentir combien la danse et le geste d’Isadora était libre.
L’image que je retiendrai :
Celle d’Isadora dansant sur des musiques et des poèmes différents.
http://alexmotamots.wordpress.com/2015/11/13/perdu-le-jour-ou-nous-navons-pas-danse-caroline-deyns
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