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Microfictions

  • Livre inclassable !
    Cinq cents nouvelles déjantées, à picorer.
    Précaution d'emploi : ne pas dépasser la dose prescrite.
    Du lâcher-prise, à grands coups de morts, de massacres, d'accidents , mortels de préférence, d'attentats, incestes, viols, sodomies...perversions en tous genres....
    Tout le monde y passe, point de retenue !!
    Intimité crue, monstrueuse parfois, cruelle souvent.
    Nouvelles à la fois sombres, désespérantes, glauques, morbides, choquantes et aussi hilarantes, comiques, déconcertantes, bref, jubilatoires souvent.
    Précautions d'emploi : ne pas rester figé dans des valeurs traditionnelles, ni dans une morale trop rigoureuse !!!
    Humour noir s'il en est!! et sexué !!
    Etonnant !!

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  • C'est jubilatoire. Il faut le prendre comme un exercice de style et mettre son mouchoir (ou éclater de rire) sur les passages volontairement choquants.
    Rien que le sixième texte, "Après la pitance", vaut les 25 euros. D'autant que si vous êtes un lecteur lent, cet opus peut vous faire 2 ans.
    A noter qu'il est toujours étonnant de voir les réactions de certains face au contenu d'ouvrages de littérature blanche, ils réagissent à la moindre phrase choquante, l'imputent à l'auteur, qui doit donc selon eux être taxé de raciste, pédophile, misogyne, etc... Au contraire, les mêmes ne s'offusquent pas lorsque dans un polar d'autres auteurs imaginent les pires sévices infligés par un serial-killer, qui épluche ses victimes, les brûle ou les mange. Ce deux poids deux mesures est assez insupportable. Il faut comprendre une bonne fois pour toutes que si j'écris, là tout de suite, "je mange la cervelle de mon voisin", ce ne sont que des mots, ça n'illustre pas mes projets et mes desseins les plus sombres. Et je suis quand même libre de créer les aventures qu'il me plaît pour mon personnage principal. Imagine-t-on une littérature (blanche) où chaque personnage serait parfait, agréable, etc... ? Arrêtons-donc de gémir lorsqu'un auteur, Jauffret en l'espèce, nous décrit des personnages assez peu fréquentables. Le seul droit du lecteur est de trouver que d'autres types d’œuvres sont plus à son goût.

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  • 500 nouvelles de 2 pages d'une noirceur et d'un cynisme sans pareille.

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