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Les sorcières de Pendle

  • Je suis malheureusement un peu déçue par cette lecture. Il faut dire que je me suis fait avoir par sa couverture somptueuse qui m'a aussitôt attirée. À cela s'ajoutait le sujet en lui-même que je trouve passionnant et j'avais lu de très bons retours sur Insta. Mes attentes étaient sans doute trop grandes, l'histoire en elle-même est plaisante, mais il m'a manqué cette étincelle qui fait qu'on ne peut pas lâcher un livre. Peut-être est-ce lié au fait qu'on ne suit pas directement une des accusées, mais une noble souhaitant sauver l'une d'elles (et qui finalement se préoccupe assez peu du sort des autres). C'est agréable et distrayant, mais je n'ai pas été ensorcelée.

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  • Je le trouve long à lire il est bien structuré mais ne me passionnes pas

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  • Après "les Graciées",je me suis régalée avec ce roman plus feel-good sur les sorcières de Pendle .Deux personnages féminins au statut social opposé,Fleetwood jeune châtelaine et Alice ,sa sage-femme ...De l'aventure,de l'amour,une critique du pouvoir et de ses ambitieux:on ne s'ennuie pas!

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  • Un roman intéressant et original sur la chasse aux sorcières dont ont été victimes des femmes accusées de sorcellerie en France ou à l'étranger au XVIIème siècle. Le personnage principal est déterminé, on s'attache vite à son histoire. Par contre, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de personnages très secondaires, on finit par s'y perdre un peu. La couverture du roman des éditions Pocket est très réussie.

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  • 1612. Comté de Lancaster (actuel Lancashire)
    Fleetwood Shuttleworth, châtelaine de Gawthorpe Hall, n’a toujours pas donné d’héritier à son époux. Après trois fausses couches, elle est de nouveau enceinte. Lorsqu’elle croise sur les terres de son domaine Alice Gray, une sage-femme qui connaît les plantes médicinales, elle voit en cette mystérieuse jeune femme son dernier espoir.
    Mais l’ouverture prochaine d’un procès en sorcellerie à Pendle remet tout en cause car Alice fait partie des accusées. Fleetwood va user de toute l’influence dont elle dispose pour l’innocenter car leurs destins sont désormais liés. Si elle parvient à sauver celle qui est devenue peu à peu son amie, elle sauve sa vie et celle de son enfant. Or à cette époque le pouvoir d’une femme, toute châtelaine fût-elle, est somme toute limité.

    Comme pour de nombreux lecteurs des Sorcières de Pendle, mon œil a tout d’abord été attiré par la magnifique couverture du roman. Et puis le thème était de saison !
    Le roman repose sur un fait historique : le plus célèbre procès de sorcellerie de l’histoire anglaise au cours duquel les accusées affirmaient posséder des esprits familiers capables de prendre l’apparence d’animaux. Une seule « sorcière » fut acquittée, son nom : Alice Gray. Les dix autres furent pendues (on ne brûlait pas les sorcières en Angleterre mais en Irlande).
    Autour de ces événements, Stacey Halls brode une histoire agréable même si l’intrigue tourne parfois en rond à l’image de l’héroïne qui s’épuise à chevaucher à travers tout le comté dans sa tentative de sauvetage désespéré.
    Si Fleetwood Shuttleworth a vraiment existé, son lien avec Alice Gray est le fait de l’auteur. Car comme elle nous le rapporte à la fin du livre, le mari de Fleetwood, Richard assista au procès. Était-il présent pour intercéder en faveur de la sage-femme de son épouse ou par curiosité ? Il faut dire qu’à l’époque la sorcellerie suscitait une fascination certaine. Même le roi Jacques a écrit un traité à ce sujet intitulé Daemonologie en 1597.

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  • Roman reçu dans le cadre d’une Masse Critique Babelio. Je remercie les Editions Pocket pour leur envoi.

    Dans le Nord de l’Angleterre, début du 17ème siècle, Fleetwood Shuttleworth, âgée de 17 ans, est très inquiète. Elle a déjà fait trois fausses couches, elle débute une quatrième grossesse.

    Elle espère de tout son coeur pouvoir enfin donner un héritier à son époux Richard, riche châtelain.

    Sa rencontre avec une jeune femme, Alice Gray, qui connaît parfaitement les plantes et leurs usages, lui semble un don du ciel. Fleetwood l’engage comme sage-femme.

    Or, dans le même temps, des accusations de sorcellerie sont portées contre des femmes proches d’Alice ou qui, comme elle, ont le don de soigner.

    Alice se retrouve elle aussi accusée et emprisonnée. Fleetwood, persuadée qu’elle va mourir en couches si la jeune sage-femme n’est pas auprès d’elle, va tenter de la sauver.

    Le pitch de cette histoire me paraissait alléchant : un roman historique, une histoire de femmes, des procès en sorcellerie. Voilà qui me paraissait parfait pour me changer un peu de mes dernières lectures.

    Mais ce fut un flop ! J’ai trouvé l’histoire cousue de fil blanc, sans profondeur. Je n’ai pas accroché aux personnages principaux.

    Ce roman n’est pas désagréable à lire mais j’ai un peu peiné à le terminer.

    Peut-être convient-il mieux à de jeunes adolescentes ou à des lectrices aimant plutôt les bluettes ? Dans ce cas, il peut faire un cadeau de Noël, la couverture étant par ailleurs très jolie.

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  • A dix-sept ans et après trois fausses couches, Fleetwood Shuttleworth, l’épouse du maître de Gawthorpe Hall, à Pendle dans le Lancashire, désespère de mener à bien sa quatrième grossesse. Elle s’attache les services d’Alice Gray, jeune sage-femme experte en plantes médicinales, bientôt accusée de sorcellerie en même temps qu’onze autres femmes de Pendle. Persuadée de mourir en couches sans l’aide d’Alice, Fleetwood n’a plus qu’une obsession : sauver la jeune femme de la pendaison, en intervenant lors du vaste procès pour sorcellerie qui s’ouvre à Lancaster en cette année 1612.

    Parmi les plus célèbres d’Angleterre, ce procès pour sorcellerie est inhabituel par le nombre – onze - des sorcières exécutées en même temps. Il s’inscrit dans un contexte général de chasse aux contestataires religieux, lancée par un Jacques 1er soucieux d’imposer l’Église anglicane, et à ce point préoccupé par la sorcellerie qu’il a lui-même écrit un ouvrage incitant à pourchasser ses adeptes. Restées dans les mémoires, les sorcières de Pendle ont, depuis, largement inspiré la littérature, suscité récemment quelques pétitions pour leur réhabilitation, et font aujourd’hui le bonheur de l’activité touristique et de l’industrie du souvenir locales…

    Si Stacey Halls a le mérite de nous faire découvrir ces événements du 17e siècle en Angleterre, elle s’en est toutefois si librement inspirée qu’on en reste largement sur sa faim sur le plan historique. Faute en est à la narration totalement centrée sur le personnage imaginaire de Fleetwood, dont les préoccupations sentimentales et procréatrices occultent presque tout le reste. A la fois bien trop moderne et d’un cruel manque d’épaisseur qui finit par la rendre exaspérante de naïveté, elle fait du récit une romance trop inconséquente et simpliste, qui, non contente de rejeter sa thématique historique à l'arrière-plan, crée une dérangeante sensation d’anachronisme. Reste un texte fluide et agréable, sans grande originalité de style, qui, après la lenteur de sa première moitié, s’anime des tentatives de son héroïne d’empêcher l’inéluctable, avant une conclusion sucrée à souhait.

    Cette exploitation très légère et romanesque d’une thématique dans le vent séduira davantage les amateurs – à vrai dire, plutôt les amatrices ? -, de romance que de roman historique. Une déception pour ma part, qui m’aura néanmoins fait découvrir l’existence d’un intéressant fait d'histoire.

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  • http://monmondedevasions.com/stacey-halls-les-sorcieres-de-pendle/
    Je termine à l’instant ma lecture et j’en ai encore des étoiles plein les yeux.

    Je suis un peu sortie de ma zone habituelle de style de lecture avec Les sorcières de Pendle et j’en suis ravie!

    J’ai plongé dans le Royaume Uni du XVII ème siècle. Une période historique plutôt sombre durant laquelle je n’aurais pas aimé vivre surtout en tant que femme.

    L’auteure nous embarque dans une histoire vraie de sorcellerie dans le Lancashire dont les faits liés à la sorcellerie n’ont finalement eu lieu que dans la tête de ceux qui les ont condamné. Où la supériorité des hommes de loi a fait abstraction de toute logique.

    Une histoire glauque, terrifiante où aucune chance ne fut laissée aux accusées.

    On y rencontre Fleetwood qui, malgré son très jeune âge, va montrer sa force de caractère et donner tout ce qu’elle a pour arriver à ses fins. Son amitié avec Alice, l’une des condamnées est tellement forte qu’elle va la faire sortir de son rôle de jeune chatelaine apeurée pour affirmer son caractère tant auprès de son mari qu’auprès des plus hautes autorités du pays.

    J’ai beaucoup aimé ma lecture, le style fluide et accessible de l’écriture de l’auteure. La description précise de la manière de vivre liée à cette période historique.

    J’ai adoré en savoir plus sur les faits liés au procès de ces 12 accusées, me plonger dans cette période sombre de l’Angleterre.

    Si le récit commence lentement, tout en descriptions des lieux et des personnages pour nous mettre dans l’ambiance, il s’intensifie au fil des pages et des chapitres qui se succèdent à grande vitesse.

    On finit dans un état d’angoisse proche de celui des accusées! (sans exagération bien sûr…)

    Au final, j’ai pris grand plaisir à lire ce roman et je vous le recommande chaudement!

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