Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Tres bon thriller. Avec du suspens et toujours une fin surprenante.
Je recommande
Très bonne intrigue, jusqu’au bout on se demande qui est le coupable.
Un roman de suspens psychologique.
Une famille riche, harmonieuse en apparence.
Cependant, en creusant un peu, chaque famille a des secrets qu'elle tente de cacher, d'enfouir.
Que cache cette famille ?
En froid avec sa sœur Nel depuis des années, Julia n'a pas voulu lui répondre. Une semaine plus tard, le corps de Nel est retrouvé dans la rivière de leur enfance ...
J'ai encore moins apprécié que son précédent livre, la fille du train ... Ce bouquin est long, très long fournis de détails et de dialogues pas nécessaires, je l'ai lu en deux temps ce qui arrive rarement ... une riviere, des meurtres, une malediction et des personnages auxquelles on s'attachent pas , j'ai tenu bon , j'ai pris une bouée , nagé à la surface de ce livre pour continuer à le lire et j'ai finis par arriver à la derniere page sans me noyer dans celui ci avec tous ses personnages , ses theories , cette fin qu'on voit venir tellement les informations sont distilles au fur et a mesure des pages mais je m'en suis sortie et en sortant du fond de cette eau m'attendait mon prochain roman ...
On s'y noie et c'est parfait
Après « Le Fille du train », la romancière britannique Paula Hawkins nous propose un voyage dans une toute petite ville britannique où une mère célibataire de 40 ans vient d’être retrouvée noyée. Cette petite ville a funeste réputation, les femmes se noient beaucoup dans cette rivière, certaine volontairement, d’autres y sont précipitées. Nel, la victime, préparait un livre sur le sujet, un livre qui ne plaisait pas beaucoup au village. Sa sœur Julia débarque de Londres, elle était brouillé avec Nel et ne connais pas sa nièce, Lena, une ado revêche et difficile à apprivoiser. La mort de Nel et l’enquête qui va suivre va mettre au jour les secrets poisseux d’une toute petite ville qui en a beaucoup. Dans la forme, « Au fond de l’eau » est assez comparable à « La Fille du Train », A chaque chapitre son narrateur (mais ici il y en a bien plus que 3), une fausse fin avec un ultime rebondissement final (la dernière phrase, pas avant !). Sur le fond, le roman est un peu moins passionnant même si l’intrigue tient la route, la faute surement au nombre important de personnages et de sous-intrigues qui viennent se mêler et s’entremêler à l’intrigue principale. Comme dans le précédent, ici les hommes ne sont pas à la fête ! Bien peu sortent grandis du roman de Paula Hauwkins, ce qui me fait dire que son roman est parfaitement dans l’air du temps, même si on peut évidemment trouver à y redire. Les personnages sont assez bien croqués, complexes, et ce qui est bien démontré c’est que le poids des non-dits, des secrets de famille, des comptes jamais réglés, ca finit toujours pas produire du chagrin, voire de la haine. Les personnages du roman ont du mal à communiquer, c’est illustré de façon limpide par la brouille Julia/Ned, née d’une incompréhension, presque d’un quiproquo et qui les aura poursuivi toute leur vie, juste parce qu’elles refusaient de se dirent clairement les choses. Sur ce point le roman est très efficace et diablement pertinent. Sur le reste, cette fameuse rivière où l’on noyait les sorcières avant et où l’on vient de « suicider » régulièrement (quand on est une femme), j’ai peut-être eu un peu de mal à me la figurer, encore que le poids des traditions et des croyances populaires puisse être écrasant dans les toutes petites communautés. Même si je suis à moitié convaincue par le rebondissement des dernières phrases, j’aurais quand même pris un plaisir sincère à la lecture de ce polar rural.
De Paula Hawkins j'avais beaucoup aimé "La fille du train" et j'étais curieuse de découvrir son nouvel opus "Au fond de l'eau"
Quelle atmosphère ! J'ai adoré !
Un village de campagne, Beckford, avec ses secrets, son ambiance délétère. Une rivière, maudite et fascinante. Une succession de noyades, suicides ou pas depuis des siècles. De femmes, exclusivement de femmes. Au point qu' un coude de la rivière s'appelle"le bassin aux noyées". De sombres histoires de famille, des gens respectables qui ne le sont pas tant que cela...
L'histoire est racontée selon le point de vue de 11 personnages et il faut accepter d'avancer un peu dans le roman pour s'y retrouver. Se dessinent alors parallèlement à l'enquête, les portraits de 3 femmes, Julia, Nel et Léna avec leurs blessures, leurs fêlures...L'auteur excelle dans ces descriptions psychologiques. De fausses pistes en fausses pistes, l'angoisse sourd de chaque pierre, de chaque maison dans ce village lié de façon indissoluble aux eaux sombres de sa rivière. Fabuleux page-turner, le suspense est présent jusqu'à la dernière page, jusqu'à la dernière phrase!
Un nouveau suspense psychologique où le héros principal, paradoxalement, est un bassin. Cette rivière où jadis l’on noyait les sorcières.
Cette rivière où de nos jours les femmes gênantes disparaissent.
Cette rivière dans laquelle le corps de Nell, la sœur de Julia, a été retrouvé. Les deux sœurs étaient fachées depuis longtemps déjà.
Cette rivière que Jules-Julia devra affronter pour remonter les fils de sa vie jusqu’à un passé qui n’est peut être pas celui qu’elle croyait. De malentendus en prétendus suicides, Julia va mettre à jour une vérité terrible.
Par le choix d’une narration par plusieurs personnages, ce roman a accroche le lecteur dès le début.
L’atmosphère inquiétante qui entoure la rivière apporte un plus dans un suspense aiguisé tel un couteau qui ne lâche pas le lecteur jusqu’à la toute dernière page.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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